Claire CHAZAL
Claire Chazal appartient à la promotion 1978 de HEC - Jouy en Josas et est titulaire d'un DEA d'économie de l'Université d'Assas.
Elle effectue en 1980 un stage à Europe 1 au Service des Informations Générales et collabore à L'Usine Nouvelle et à L'Expansion. De 1981 à 1985, elle travaille au service Economie du Quotidien de Paris dont elle devient responsable en Mai 84. Parallèlement elle assure des chroniques sur la danse à Europe 1.
Elle effectue en 1980 un stage à Europe 1 au Service des Informations Générales et collabore à L'Usine Nouvelle et à L'Expansion. De 1981 à 1985, elle travaille au service Economie du Quotidien de Paris dont elle devient responsable en Mai 84. Parallèlement elle assure des chroniques sur la danse à Europe 1.
De 1985 à 1987, c'est au journal économique Les Echos qu'elle intervient comme Chef Adjoint du Service Economie Générale.
En 1988, elle entre au service de la chaîne de télévision Antenne 2 en tant que Grand Reporter au Service Economie, et elle se voit confier la présentation de l'Edition de la nuit en alternance avec Philippe Gassot en Septembre 90.
En Août 91, elle entre à TFI pour présenter les éditions du Week end du 13h et du 20h.
Elle publie en 1993 chez Flammarion une biographie d'Edouard Balladur, puis en janvier 1997 chez Plon un premier roman, " L'Institutrice ", et en avril 2000 une suite, " A quoi bon souffrir ".
Elle a une prédilection pour la lecture... et la gymnastique. Et une vraie passion pour la danse et l'Opéra.
Romans :
L'institutrice
Institutrice dans un village d'Auvergne, Jeanne a vingt ans. La guerre vient de se terminer. Elle a laissé des cicatrices dans chaque existence, et l'heure des comptes n'est pas close. Jeanne aime son terroir, mais elle sait qu'elle le quittera pour découvrir le Paris mythique de la presse et des écrivains. Avec Henri, maître d'école lui aussi, ils rêvent une autre vie, taraudés par le souffle libérateur des années d'après-guerre. Mais Jeanne rencontre Pierre, dont la femme, étrangement, s'est laissée mourir. Seul sur ses terres, mûr mais fragile, il touche la jeune institutrice et l'attire... Un premier roman, tableau d'une éducation sentimentale dans la province française d'après-guerre.
Éditeur : Pocket (16 mars 1998)
Collection : Best
Format : Poche - 221 pages
A quoi bon souffrir
Rome, début des années 60. Jeanne, la jeune institutrice auvergnate devenue journaliste parisienne, s'est réfugiée dans la Ville éternelle, abandonnée sans explication par l'homme qu'elle aimait. Comment accepter l'inacceptable ? Comment supporter l'incompréhensible manque de l'autre ? Comment ne pas succomber au désespoir du vide, serait-on dans la plus belle ville du monde ? Tel va se dérouler, dans une Rome sublime et tendre, le combat de Jeanne contre le fantôme de Gilles et contre ses propres démons. Il faudra la rencontre, à la villa Médicis, d'un peintre artiste des sentiments pour que les blessures commencent à s'effacer.
Éditeur : Pocket (18 janvier 2001)
Collection : Best
Format : Poche - 222 pages
En 1988, elle entre au service de la chaîne de télévision Antenne 2 en tant que Grand Reporter au Service Economie, et elle se voit confier la présentation de l'Edition de la nuit en alternance avec Philippe Gassot en Septembre 90.
En Août 91, elle entre à TFI pour présenter les éditions du Week end du 13h et du 20h.
Elle publie en 1993 chez Flammarion une biographie d'Edouard Balladur, puis en janvier 1997 chez Plon un premier roman, " L'Institutrice ", et en avril 2000 une suite, " A quoi bon souffrir ".
Elle a une prédilection pour la lecture... et la gymnastique. Et une vraie passion pour la danse et l'Opéra.
Romans :
L'institutrice
Institutrice dans un village d'Auvergne, Jeanne a vingt ans. La guerre vient de se terminer. Elle a laissé des cicatrices dans chaque existence, et l'heure des comptes n'est pas close. Jeanne aime son terroir, mais elle sait qu'elle le quittera pour découvrir le Paris mythique de la presse et des écrivains. Avec Henri, maître d'école lui aussi, ils rêvent une autre vie, taraudés par le souffle libérateur des années d'après-guerre. Mais Jeanne rencontre Pierre, dont la femme, étrangement, s'est laissée mourir. Seul sur ses terres, mûr mais fragile, il touche la jeune institutrice et l'attire... Un premier roman, tableau d'une éducation sentimentale dans la province française d'après-guerre.
Éditeur : Pocket (16 mars 1998)
Collection : Best
Format : Poche - 221 pages
A quoi bon souffrir
Rome, début des années 60. Jeanne, la jeune institutrice auvergnate devenue journaliste parisienne, s'est réfugiée dans la Ville éternelle, abandonnée sans explication par l'homme qu'elle aimait. Comment accepter l'inacceptable ? Comment supporter l'incompréhensible manque de l'autre ? Comment ne pas succomber au désespoir du vide, serait-on dans la plus belle ville du monde ? Tel va se dérouler, dans une Rome sublime et tendre, le combat de Jeanne contre le fantôme de Gilles et contre ses propres démons. Il faudra la rencontre, à la villa Médicis, d'un peintre artiste des sentiments pour que les blessures commencent à s'effacer.
Éditeur : Pocket (18 janvier 2001)
Collection : Best
Format : Poche - 222 pages
Juin 2004
Par Claire CHAZAL