Qui veut la peau de Lola Kelly ?
A première vue, une énième rencontre marketée de la nature et de la technologie, "marque de Docteur" à la française oblige... et pourtant les cosmétiques Lola Kelly séduisent par la qualité de leurs textures et l'axe de recherche choisi : le titrage moléculaire. Explication.
Dame Nature à la rescousse ?
On se souvient de l'électrochoc suscité en 2002 par le reportage d'Envoyé Spécial qui, pointant du doigt les filtres solaires, conservateurs et autres sels d'aluminium présents en nombre dans nos cosmétiques, avait achevé de semer le trouble dans un secteur ô combien sensible : la beauté et, partant, la santé. Subitement, les douces émulsions aqueuses portaient en elles les germes d'un danger d'autant plus alarmant qu'il n'était pas clairement identifié. Rien n'avait jusqu'alors été réellement démontré en matière de toxicité, mais nos compagnons de toujours, ces pots de crème porteurs d'un tel espoir dans notre volonté de repousser plus loin les manifestations du Temps, pouvaient se révéler être un ennemi bien plus sournois...
Restait donc, pour les marques en souffrance, à s'engouffrer dans la vague du bio, de l'éthique et du naturel, à grand renfort de stratégies scientifiques et de marketing. De là à prôner le tout écologique, il n'y avait qu'un pas qu'ont allégrement franchi nombre de consommatrices alarmées. Et pourtant, on ne le répétera jamais assez, naturel ne signifie pas nécessairement inoffensif, les plantes pouvant se révéler particulièrement préjudiciables à nos sensibles épidermes. A preuve, les allergies aux huiles essentielles et les réactions dermatologiques dont souffrent chaque jour davantage les partisanes d'un tout-vert. En un mot, il faut savoir raison garder et accepter le progrès scientifique tout en restant vigilant sur l'origine des ingrédients. C'est peu ou prou le pari de Lola Kelly...
Le meilleur des deux mondes...
Puisant largement dans les vertus du monde minéral, végétal et aquatique, Lola Kelly réussit également le tour de force d'asseoir sa légitimité scientifique en mettant à jour un procécé plutôt révolutionnaire : le titrage moléculaire, ou calcul de la quantité d'efficacité d'une molécule active. A meilleur dosage, action cosmétique optimale et c'est donc pleinement que nos épidermes assoiffés bénéficient des effets de la padine, cet actif marin encore méconnu, qui augmente la résistance et améliore l'aspect de la peau. Bilan : la peau est plus ferme, plus tonique et mieux protégée. Donc plus belle ; la gamme anti-âge est large, déclinée pour les 30 ans et pour les peaux matures. On aime notamment le sérum Arrêt sur Image à la fois reminéralisant, restructurant et tonifiant et la crème de nuit All Night Long dont la texture riche et onctueuse prépare profondément la peau aux bienfaits réparateurs de la nuit. Un bain d'hydratation salvateur et protecteur. Passons-nous le mot : on aura toutes la peau de Lola Kelly !
On se souvient de l'électrochoc suscité en 2002 par le reportage d'Envoyé Spécial qui, pointant du doigt les filtres solaires, conservateurs et autres sels d'aluminium présents en nombre dans nos cosmétiques, avait achevé de semer le trouble dans un secteur ô combien sensible : la beauté et, partant, la santé. Subitement, les douces émulsions aqueuses portaient en elles les germes d'un danger d'autant plus alarmant qu'il n'était pas clairement identifié. Rien n'avait jusqu'alors été réellement démontré en matière de toxicité, mais nos compagnons de toujours, ces pots de crème porteurs d'un tel espoir dans notre volonté de repousser plus loin les manifestations du Temps, pouvaient se révéler être un ennemi bien plus sournois...
Restait donc, pour les marques en souffrance, à s'engouffrer dans la vague du bio, de l'éthique et du naturel, à grand renfort de stratégies scientifiques et de marketing. De là à prôner le tout écologique, il n'y avait qu'un pas qu'ont allégrement franchi nombre de consommatrices alarmées. Et pourtant, on ne le répétera jamais assez, naturel ne signifie pas nécessairement inoffensif, les plantes pouvant se révéler particulièrement préjudiciables à nos sensibles épidermes. A preuve, les allergies aux huiles essentielles et les réactions dermatologiques dont souffrent chaque jour davantage les partisanes d'un tout-vert. En un mot, il faut savoir raison garder et accepter le progrès scientifique tout en restant vigilant sur l'origine des ingrédients. C'est peu ou prou le pari de Lola Kelly...
Le meilleur des deux mondes...
Puisant largement dans les vertus du monde minéral, végétal et aquatique, Lola Kelly réussit également le tour de force d'asseoir sa légitimité scientifique en mettant à jour un procécé plutôt révolutionnaire : le titrage moléculaire, ou calcul de la quantité d'efficacité d'une molécule active. A meilleur dosage, action cosmétique optimale et c'est donc pleinement que nos épidermes assoiffés bénéficient des effets de la padine, cet actif marin encore méconnu, qui augmente la résistance et améliore l'aspect de la peau. Bilan : la peau est plus ferme, plus tonique et mieux protégée. Donc plus belle ; la gamme anti-âge est large, déclinée pour les 30 ans et pour les peaux matures. On aime notamment le sérum Arrêt sur Image à la fois reminéralisant, restructurant et tonifiant et la crème de nuit All Night Long dont la texture riche et onctueuse prépare profondément la peau aux bienfaits réparateurs de la nuit. Un bain d'hydratation salvateur et protecteur. Passons-nous le mot : on aura toutes la peau de Lola Kelly !
Septembre 2008
Par Estelle BURGET
