Opération tonnerre mécanique !
Avis aux amateurs ! L'Aston Martin DB5 de James Bond, celle-la même que conduisait Sean Connery himself dans les légendaires Goldfinger et Opération Tonnerre, est à vendre ! Mise aux enchères le 27 Octobre au BatterseaEvolution de Londres.
Culture Q !
Par les temps qui courent, il faut savoir aller à l'essentiel. C'est donc logiquement armée de mitraillettes, d'un écran pare-balles, de plaques d'immatriculation pivotantes, d'un dispositif de télédétection, d'une section de toit amovible, d'un vaporisateur d'huile, d'un épandeur de clous et d'un générateur d'écran de fumée contrôlés par une myriade de commutateurs, installés en usine et dissimulés dans l'accoudoir central, que l'Aston Martin DB5 sera mise en vente. Un tunning en bonne et due forme qui aura d'ailleurs valu son Oscar à John Stears et qui vous permettra, n'en doutons pas, de vous tirer à moindre mal d'une situation périlleuse. L'air goguenard et satisfait, vous pourrez donc afficher crânement votre flegme james-bondien. Plus qu'une nouvelle monture, c'est peu ou prou la certitude d'être un nouvel homme que devrait vous offrir la mythique DB5. De quoi lever évidemment les dernières réticences.
L'histoire continue...
Pour la petite histoire, connue de par le monde sous le nom de "FMP 7B" – son immatriculation anglaise d’origine – cette Aston Martin DB5 "007" fabriquée à seulement deux exemplaires est la seule qui ait survécu. Découverte à l’écran, pilotée par Sean Connery, dans les mythiques Goldfinger et Opération Tonnerre, la voiture devrait à coup sûr être la star incontestée de la vente annuelle "Automobiles of London" organisée par la société RM Auctions. Mise en vente publique pour la première fois de son histoire le 27 Octobre au Battersea Evolution de Londres, en collaboration avec Sotheby’s, les spécialistes estiment pour la plupart qu'elle pourrait rapporter plus de 3,5 millions de Livres Sterling (soit plus de 5 millions de dollars US) à son propriétaire. Une somme qui sera du reste intégralement reversée à la "Jerry Lee Foundation", association internationale dédiée à la résolution des problèmes sociaux liés à la pauvreté et insistant sur la prévention du crime. Si en plus c'est pour la bonne cause...!
Par les temps qui courent, il faut savoir aller à l'essentiel. C'est donc logiquement armée de mitraillettes, d'un écran pare-balles, de plaques d'immatriculation pivotantes, d'un dispositif de télédétection, d'une section de toit amovible, d'un vaporisateur d'huile, d'un épandeur de clous et d'un générateur d'écran de fumée contrôlés par une myriade de commutateurs, installés en usine et dissimulés dans l'accoudoir central, que l'Aston Martin DB5 sera mise en vente. Un tunning en bonne et due forme qui aura d'ailleurs valu son Oscar à John Stears et qui vous permettra, n'en doutons pas, de vous tirer à moindre mal d'une situation périlleuse. L'air goguenard et satisfait, vous pourrez donc afficher crânement votre flegme james-bondien. Plus qu'une nouvelle monture, c'est peu ou prou la certitude d'être un nouvel homme que devrait vous offrir la mythique DB5. De quoi lever évidemment les dernières réticences.
L'histoire continue...
Pour la petite histoire, connue de par le monde sous le nom de "FMP 7B" – son immatriculation anglaise d’origine – cette Aston Martin DB5 "007" fabriquée à seulement deux exemplaires est la seule qui ait survécu. Découverte à l’écran, pilotée par Sean Connery, dans les mythiques Goldfinger et Opération Tonnerre, la voiture devrait à coup sûr être la star incontestée de la vente annuelle "Automobiles of London" organisée par la société RM Auctions. Mise en vente publique pour la première fois de son histoire le 27 Octobre au Battersea Evolution de Londres, en collaboration avec Sotheby’s, les spécialistes estiment pour la plupart qu'elle pourrait rapporter plus de 3,5 millions de Livres Sterling (soit plus de 5 millions de dollars US) à son propriétaire. Une somme qui sera du reste intégralement reversée à la "Jerry Lee Foundation", association internationale dédiée à la résolution des problèmes sociaux liés à la pauvreté et insistant sur la prévention du crime. Si en plus c'est pour la bonne cause...!
Septembre 2010
Par Lilo v. HOEPFNER
