Trousselier : Le nouveau bonheur des dames ?
Troquant Le vieil Elbeuf contre Le Bonheur des Dames, entendez une offre et un service plus spectaculaires, la maison Trousselier, centenaire, rouvre ses portes Boulevard Haussmann. Des fleurs artificielles en soie au concept-store dédié à la maison, il n'y a qu'un pas. Démonstration.
La maison sur 800 m²
C'en est bien fini de la petite boutique Trousselier... Toujours ce même savoir-faire ancestral certes, cette maîtrise absolue de la fleur artificielle en soie, mais le "modernisme" en plus. Puisque aujourd'hui pour vendre des bouquets haut de gamme sur-mesure, il ne suffit plus de savoir faire. Il faut également savoir vendre. Susciter l'envie, le besoin, quitte à oublier la dimension shopping (l'inévitable séquence détente) pour mieux y revenir. Car, on apprend le bien-être désormais chez Trousselier. Passées les vitrines plutôt décalées et détonantes, on sillonne gaiement au travers d'une série d'univers liés de plus ou moins près à la maison : ustensiles de cuisine, parfums d'ambiance, joaillerie, mobilier, arts de la table... On trouve donc désormais de tout chez Trousselier, à commencer bien évidemment par les fleurs artificielles qui accueillent le visiteur dans un parterre d'orchidées, de roses et de pivoines. Le ton est donné.
Atmosphère, atmosphère
Pour ne pas brûler toutefois 130 ans de tradition florale (35 artisans à ce jour tout de même) sur l'autel du marketing, toute l'évolution a été repensée, en accord avec la Maison, par Régis Dho, forme d'Octave Mouret des temps modernes. L'image se veut à présent à la fois sobre, design et...glamour. Multipliant les partenariats prestigieux (Amélie et Mélanie et de Lothantique pour la séquence "senteurs", linge de maison Moutet, accessoires de cuisine Cuisipro et Mauviel), Trousselier propose tout au long de ses 800 m², une offre complète et haut de gamme autour de la maison. Prochaine étape ? L'indispensable café. Autant dire que l'on s'attend à un très net rajeunissement de la clientèle féminine qui ne manquera pas d'être séduite par cette atmosphère d'abondance, d'hétérogénéite mais aussi de détente. La rumeur peu à peu enfle... "Et si on prenait un thé chez Trousselier ?"
C'en est bien fini de la petite boutique Trousselier... Toujours ce même savoir-faire ancestral certes, cette maîtrise absolue de la fleur artificielle en soie, mais le "modernisme" en plus. Puisque aujourd'hui pour vendre des bouquets haut de gamme sur-mesure, il ne suffit plus de savoir faire. Il faut également savoir vendre. Susciter l'envie, le besoin, quitte à oublier la dimension shopping (l'inévitable séquence détente) pour mieux y revenir. Car, on apprend le bien-être désormais chez Trousselier. Passées les vitrines plutôt décalées et détonantes, on sillonne gaiement au travers d'une série d'univers liés de plus ou moins près à la maison : ustensiles de cuisine, parfums d'ambiance, joaillerie, mobilier, arts de la table... On trouve donc désormais de tout chez Trousselier, à commencer bien évidemment par les fleurs artificielles qui accueillent le visiteur dans un parterre d'orchidées, de roses et de pivoines. Le ton est donné.
Atmosphère, atmosphère
Pour ne pas brûler toutefois 130 ans de tradition florale (35 artisans à ce jour tout de même) sur l'autel du marketing, toute l'évolution a été repensée, en accord avec la Maison, par Régis Dho, forme d'Octave Mouret des temps modernes. L'image se veut à présent à la fois sobre, design et...glamour. Multipliant les partenariats prestigieux (Amélie et Mélanie et de Lothantique pour la séquence "senteurs", linge de maison Moutet, accessoires de cuisine Cuisipro et Mauviel), Trousselier propose tout au long de ses 800 m², une offre complète et haut de gamme autour de la maison. Prochaine étape ? L'indispensable café. Autant dire que l'on s'attend à un très net rajeunissement de la clientèle féminine qui ne manquera pas d'être séduite par cette atmosphère d'abondance, d'hétérogénéite mais aussi de détente. La rumeur peu à peu enfle... "Et si on prenait un thé chez Trousselier ?"
Janvier 2008