La cotte de maille assiège la déco !
Comme on ne porte plus que très occasionnellement de la cotte de maille - excepté Paco Rabanne peut-être - et ce malgré sa très haute résistance et sa grande capacité d'aération, les designers et architectes se sont approprié ce matériau souple et robuste à des fins de décoration. Rideau, fauteuil, lustre ou coussin, il y a décidément mille et une façons d'accommoder la cotte de maille.
Des possibilités infinies
Du BHV Homme au restaurant Alain Ducasse et autres Java Hill Park Hôtel, la cotte de maille, qui en avait laissé plus d'un pour le moins perplexe sur les mannequins de Paco Rabanne dans les 60's, opère son grand retour. Captant subtilement la lumière, jouant sur les couleurs et filtrant les points de vue, le matériau désormais industriel navigue entre sculpture et tissu, offrant un tombé fluide et diaphane, idéal notamment pour délimiter subtilement un espace. Il faut dire que, avec ses milliers de petits anneaux en inox liés entre eux, la cotte de maille offre des possibilités infinies de création que les designers n'ont sans doute pas fini d'exploiter. Et pour cause, ce matériau paradoxal, à la fois souple et résistant, épouse les formes du matériel sur lequel on le pose, créant une multitude de variations lumineuses au gré des sources qui l'éclairent.
Seul hic : pour le moment, la grande série n'est pas de rigueur. Prévoir donc un budget de sur-mesure...
Du BHV Homme au restaurant Alain Ducasse et autres Java Hill Park Hôtel, la cotte de maille, qui en avait laissé plus d'un pour le moins perplexe sur les mannequins de Paco Rabanne dans les 60's, opère son grand retour. Captant subtilement la lumière, jouant sur les couleurs et filtrant les points de vue, le matériau désormais industriel navigue entre sculpture et tissu, offrant un tombé fluide et diaphane, idéal notamment pour délimiter subtilement un espace. Il faut dire que, avec ses milliers de petits anneaux en inox liés entre eux, la cotte de maille offre des possibilités infinies de création que les designers n'ont sans doute pas fini d'exploiter. Et pour cause, ce matériau paradoxal, à la fois souple et résistant, épouse les formes du matériel sur lequel on le pose, créant une multitude de variations lumineuses au gré des sources qui l'éclairent.
Seul hic : pour le moment, la grande série n'est pas de rigueur. Prévoir donc un budget de sur-mesure...
Avril 2008
