Le cheval ? Un investissement au triple galop !
Le cœur qui bondit à chaque mètre, les minutes qui s'étirent comme des heures, l'euphorie de voir sa casaque à ses couleurs franchir vaillamment la ligne d'arrivée... Parce qu'être propriétaire d'un cheval décuple les émotions tout en offrant potentiellement des bénéfices fiscaux non négligeables, cette année, c'est décidé, on investit dans le cheval !
Le propriétariat d'un cheval de course : un investissement intelligent
A l'heure où la finance expérimente une crise sans précédent, où l'affaire Madoff met singulièrement à mal l'image des banques, il est grand temps de songer à d'autres types d'investissements, plus "humains", et partant plus stimulants. Or, bonne nouvelle, démocratisation oblige, le propriétariat d'un cheval de course au galop quitte le cercle très fermé de l'élite hippique pour offrir des possibilités multiples d'accession à la propriété. Mon cheval, notre cheval, nos chevaux... : dès quelques milliers d'euros, on peut donc désormais assouvir sa passion des courses et engranger de bons et loyaux bénéfices. Pour preuve les 4 600 propriétaires qui se sont partagés en 2008 quelque 170 millions d'euros d'allocations. Voilà qui fait rêver...
Entre loisir et jeu de stratège
Rapide rappel terminologique : selon le code des courses, le "propriétaire désigne la personne physique ou morale ayant reçu l’agrément des commissaires de France Galop l’autorisant à faire courir un cheval sous ses couleurs, à faire les engagements et à toucher les sommes gagnées". Véritable loisir multifacettes avec contrepartie, le propriétariat est donc la garantie de faire le plein de sensations, d'exercer son goût de la compétition et du challenge et de se mettre au vert tout en prétendant à une contrepartie financière, ce qui, à bien y songer, ne gâche rien ! Le plus ? Une administration fiscale désormais plus clémente qui autorise les propriétaires intervenants à titre professionnel à déduire les éventuelles pertes des courses de leur revenu. Ce dernier frein levé, on saisit mieux pourquoi le Bottin Hippique a connu depuis quelques années une sensible évolution... Aussi, sans prétendre nécessairement au Qatar Prix de l'Arc de Triomphe, il ne paraît dorénavant plus fou d'espérer ressentir le grand frisson du vainqueur dans un hippodrome tout en diversifiant intelligemment ses placements. Reste à miser sur le bon cheval...
A l'heure où la finance expérimente une crise sans précédent, où l'affaire Madoff met singulièrement à mal l'image des banques, il est grand temps de songer à d'autres types d'investissements, plus "humains", et partant plus stimulants. Or, bonne nouvelle, démocratisation oblige, le propriétariat d'un cheval de course au galop quitte le cercle très fermé de l'élite hippique pour offrir des possibilités multiples d'accession à la propriété. Mon cheval, notre cheval, nos chevaux... : dès quelques milliers d'euros, on peut donc désormais assouvir sa passion des courses et engranger de bons et loyaux bénéfices. Pour preuve les 4 600 propriétaires qui se sont partagés en 2008 quelque 170 millions d'euros d'allocations. Voilà qui fait rêver...
Entre loisir et jeu de stratège
Rapide rappel terminologique : selon le code des courses, le "propriétaire désigne la personne physique ou morale ayant reçu l’agrément des commissaires de France Galop l’autorisant à faire courir un cheval sous ses couleurs, à faire les engagements et à toucher les sommes gagnées". Véritable loisir multifacettes avec contrepartie, le propriétariat est donc la garantie de faire le plein de sensations, d'exercer son goût de la compétition et du challenge et de se mettre au vert tout en prétendant à une contrepartie financière, ce qui, à bien y songer, ne gâche rien ! Le plus ? Une administration fiscale désormais plus clémente qui autorise les propriétaires intervenants à titre professionnel à déduire les éventuelles pertes des courses de leur revenu. Ce dernier frein levé, on saisit mieux pourquoi le Bottin Hippique a connu depuis quelques années une sensible évolution... Aussi, sans prétendre nécessairement au Qatar Prix de l'Arc de Triomphe, il ne paraît dorénavant plus fou d'espérer ressentir le grand frisson du vainqueur dans un hippodrome tout en diversifiant intelligemment ses placements. Reste à miser sur le bon cheval...
