Envie de rejoindre le club des Gentlemen Drivers ?
Halte aux coûts d’entretien, de stockage et d'assurance exorbitants et à l'inéluctable dépréciation des véhicules d'exception, avec le Stradale Drivers Club, si vous avez plus de 28 ans, un permis B et 2 750 € au bas mot à débourser, vous pouvez vous offrir une Lamborghini Gallardo ou une Ferrari 456 MGT pour vos congés ou menus déplacements, au gré de vos envies. Une autre façon d'envisager sa passion automobile. Plus efficace, moins émotionnelle...
Entre raison et passion !
Ils sont jeunes, malins et passionnés : la trentaine à peine entamée, Thomas Gelot (ex McKinsey) et Jérôme Mur (ex start-up) ont sans doute donné un vif coup d'accélérateur au marché des sportives de luxe en imaginant un club pour les amoureux d'automobiles de sport. Car, pour les parisiens notamment, le constat est souvent le même : les voitures passent le plus clair de leur temps au fond d'un garage, voient leur cote fondre comme peau de chagrin pour une inflation constante des coûts. Ajoutez à cela le manque chronique de temps pour les entretenir, les garer, les assurer et les revendre et, au final, le coût ramené au nombre de jours d'utilisation dans l'année, fait singulièrement réfléchir... Il fallait donc trouver une solution moins coûteuse que la location occasionnelle, moins contraignante que la copropriété et peut-être plus conviviale que la collection solitaire : le Stradale Drivers Club est donc logiquement né de cette idée. Une formule, d'ailleurs déjà monnaie courante outre-Manche, pour accéder tout au long de l'année à des "super-sportives", "limousines de sport" et autres "coupés 2+2" moyennant une cotisation d'adhésion et un forfait - au choix - de points à convertir en jours d'utilisation des voitures. La propriété disparait alors au profit de l'utilité et du service. Et la passion se fait plus raisonnable...
Un fonctionnement "à la carte"
C'est fait, vous avez investi dans une carte Carbon d'une valeur de quelque 24 000 € : vous voilà donc l'heureux propriétaire de 900 points. Direction donc le Hilton, à deux pas de l'Arc de Triomphe, pour prendre en main une Ferrari F430F1 durant 14 week-ends et une Maserati Quattroporte pour vos 5 semaines de vacances. Chauffeurs, sorties sur circuit, évènements de marques, etc, complètent naturellement l'effet Club, histoire de vous faire oublier le tracas de la non-propriété, parfois émotionnellement tendue pour les grands passionnés devant l'éternel. Mais face à un garage qui s'agrandit de mois en mois de voitures aux pédigrées prestigieux, la tentation est forte de se libérer du carcan des contraintes... A vous de juger.
Ils sont jeunes, malins et passionnés : la trentaine à peine entamée, Thomas Gelot (ex McKinsey) et Jérôme Mur (ex start-up) ont sans doute donné un vif coup d'accélérateur au marché des sportives de luxe en imaginant un club pour les amoureux d'automobiles de sport. Car, pour les parisiens notamment, le constat est souvent le même : les voitures passent le plus clair de leur temps au fond d'un garage, voient leur cote fondre comme peau de chagrin pour une inflation constante des coûts. Ajoutez à cela le manque chronique de temps pour les entretenir, les garer, les assurer et les revendre et, au final, le coût ramené au nombre de jours d'utilisation dans l'année, fait singulièrement réfléchir... Il fallait donc trouver une solution moins coûteuse que la location occasionnelle, moins contraignante que la copropriété et peut-être plus conviviale que la collection solitaire : le Stradale Drivers Club est donc logiquement né de cette idée. Une formule, d'ailleurs déjà monnaie courante outre-Manche, pour accéder tout au long de l'année à des "super-sportives", "limousines de sport" et autres "coupés 2+2" moyennant une cotisation d'adhésion et un forfait - au choix - de points à convertir en jours d'utilisation des voitures. La propriété disparait alors au profit de l'utilité et du service. Et la passion se fait plus raisonnable...
Un fonctionnement "à la carte"
C'est fait, vous avez investi dans une carte Carbon d'une valeur de quelque 24 000 € : vous voilà donc l'heureux propriétaire de 900 points. Direction donc le Hilton, à deux pas de l'Arc de Triomphe, pour prendre en main une Ferrari F430F1 durant 14 week-ends et une Maserati Quattroporte pour vos 5 semaines de vacances. Chauffeurs, sorties sur circuit, évènements de marques, etc, complètent naturellement l'effet Club, histoire de vous faire oublier le tracas de la non-propriété, parfois émotionnellement tendue pour les grands passionnés devant l'éternel. Mais face à un garage qui s'agrandit de mois en mois de voitures aux pédigrées prestigieux, la tentation est forte de se libérer du carcan des contraintes... A vous de juger.
Juin 2009
