Un tour du monde des golfs !
Quel golfeur (petit ou grand) n’a jamais rêvé de jouer sur les plusbeaux parcours du monde ? Je suis sûr que si vous lisez ces quelques lignes vous faites partie de ceux-là, ou vous en connaissez. Avec « L’atlas mondial du golf », que vient de publier en France Flammarion, découvrez (ou redécouvrez) 100 des plus beaux et prestigieux parcours de golf du monde et, à défaut de vous y rendre, continuez de rêver…
Deux parcours en France parmi les plus beaux du monde.
Choisir 100 parcours de golf à travers le monde et décider qu’ils sont les plus beaux, relève d’un choix très subjectif tant ils sont nombreux.
Pour les auteurs de l’ouvrage la tâche n’a certainement pas été très facile.
Pour ma part, je n’aurai pas forcément fait le même choix qu’eux concernant la France, même si l’on m’avait demandé de n’en choisir que deux, ce qui est le cas dans cet atlas.
Mais ne boudons pas notre plaisir, ils ont malgré tout choisi les golfs de Morfontaine et de Saint GermainenLaye. Pour les avoir joués tous les deux, notamment lors de la réalisation de « Découverte du golf », j’y garde des souvenirs émus tout comme les auteurs qui nous font vivre (ou revivre) ces parcours après nous avoir décrit leur histoire, l’ambiance qui y règne, l’environnement qui les entourent et la manière de les jouer.
Morfontaine n’est pas qu’un golf très fermé et réputé comme tel, c’est aussi un magnifique parcours de bruyères où bon nombre de trous peuvent surprendre des golfeurs de tous niveaux.
Saint Germain quant à lui se révèle être un parcours très franc, très rythmé qui ne laisse pas beaucoup de répit et qui a connu ses heures de gloire avec l’organisation de nombreux Opens de France dont je garde le dernier en mémoire, disputé en 1985 et remporté par Severiano Ballesteros.
Décrire ou raviver la mémoire.
Pour chaque pays ou continent les auteurs font un premier choix et passent en revue les parcours qu’ils considèrent comme incontournables. Ils les situent sur une carte après les avoir très brièvement décrits. Ces choix se font souvent en fonction des architectes qui ont conçu ces parcours.
Pour ceux qu’ils ont décidé de mettre en exergue et de développer en les incluant dans la liste des 100, d’autres aspects interviennent comme leur histoire, leur prestige ou…leur beauté.
L’intérêt d’un tel ouvrage est non seulement de nous faire découvrir bon nombre de parcours que nous n’aurons sans doute jamais l’occasion de jouer mais aussi de raviver notre mémoire par rapport à ceux que nous avons eu la chance de voir à travers le prisme de la télévision pour les plus célèbres d’entre eux ou de parcourir voici quelque temps.
Ainsi pour ma part, j’ai été ravi de redécouvrir entre autres les golfs de Waterville et de Ballybunion en Irlande sur lesquels, il y a bien longtemps déjà, j’exerçais, plutôt mal que bien, mes premiers rudiments de golf et qui m’ont procuré une indéfectible passion pour les links, quintessence même du golf.
Un seul petit regret, la version française de cet ouvrage fait trop de place aux anglicismes, mais quand on sait que ce sport est né en Ecosse et que le livre accorde naturellement et en priorité une large place à ce berceau du golf, ce petit regret est vite estompé.
Choisir 100 parcours de golf à travers le monde et décider qu’ils sont les plus beaux, relève d’un choix très subjectif tant ils sont nombreux.
Pour les auteurs de l’ouvrage la tâche n’a certainement pas été très facile.
Pour ma part, je n’aurai pas forcément fait le même choix qu’eux concernant la France, même si l’on m’avait demandé de n’en choisir que deux, ce qui est le cas dans cet atlas.
Mais ne boudons pas notre plaisir, ils ont malgré tout choisi les golfs de Morfontaine et de Saint GermainenLaye. Pour les avoir joués tous les deux, notamment lors de la réalisation de « Découverte du golf », j’y garde des souvenirs émus tout comme les auteurs qui nous font vivre (ou revivre) ces parcours après nous avoir décrit leur histoire, l’ambiance qui y règne, l’environnement qui les entourent et la manière de les jouer.
Morfontaine n’est pas qu’un golf très fermé et réputé comme tel, c’est aussi un magnifique parcours de bruyères où bon nombre de trous peuvent surprendre des golfeurs de tous niveaux.
Saint Germain quant à lui se révèle être un parcours très franc, très rythmé qui ne laisse pas beaucoup de répit et qui a connu ses heures de gloire avec l’organisation de nombreux Opens de France dont je garde le dernier en mémoire, disputé en 1985 et remporté par Severiano Ballesteros.
Décrire ou raviver la mémoire.
Pour chaque pays ou continent les auteurs font un premier choix et passent en revue les parcours qu’ils considèrent comme incontournables. Ils les situent sur une carte après les avoir très brièvement décrits. Ces choix se font souvent en fonction des architectes qui ont conçu ces parcours.
Pour ceux qu’ils ont décidé de mettre en exergue et de développer en les incluant dans la liste des 100, d’autres aspects interviennent comme leur histoire, leur prestige ou…leur beauté.
L’intérêt d’un tel ouvrage est non seulement de nous faire découvrir bon nombre de parcours que nous n’aurons sans doute jamais l’occasion de jouer mais aussi de raviver notre mémoire par rapport à ceux que nous avons eu la chance de voir à travers le prisme de la télévision pour les plus célèbres d’entre eux ou de parcourir voici quelque temps.
Ainsi pour ma part, j’ai été ravi de redécouvrir entre autres les golfs de Waterville et de Ballybunion en Irlande sur lesquels, il y a bien longtemps déjà, j’exerçais, plutôt mal que bien, mes premiers rudiments de golf et qui m’ont procuré une indéfectible passion pour les links, quintessence même du golf.
Un seul petit regret, la version française de cet ouvrage fait trop de place aux anglicismes, mais quand on sait que ce sport est né en Ecosse et que le livre accorde naturellement et en priorité une large place à ce berceau du golf, ce petit regret est vite estompé.
Octobre 2009
Par Jean-Louis CALMEJANE
