Croisière Nil Lazuli
Partons de l’idée qu’on ne peut pas tout savoir bien faire. Appliquons-la au domaine du voyage : l’un de ces tour-opérateurs qui ont choisi de faire partager ce qu’ils connaissent et ce qu’ils aiment, en ciblant leurs destinations et pratiquant un tourisme responsable, c’est Terre Voyages, dont Fleuves du Monde est l’une des marques. A tout seigneur, tout honneur, embarquons donc sur le Nil avec un spécialiste qui renouvelle le genre.
Voyageons « responsable » au pays du dieu Râ
Si l’on vous dit que Fleuves du Monde renouvelle le genre, c’est notamment parce qu’il est tout bonnement le premier tour-opérateur à proposer, avec les croisières Lazuli, des bateaux de croisière fonctionnant à l’énergie solaire.Connaissez-vous les dahabiehs, ces bateaux à deux voiles latines utilisés à partir du XIXe siècle pour les Pachas, archéologues et premiers touristes explorant l’Egypte ? Remis au goût du jour pour notre plus grand plaisir, ils offrent l’avantage d’être à la fois confortables et très intimistes, avec leur 6 cabines et 12 passagers maximum. Pour un peu on croirait y croiser Hercule Poirot !
Ecologique jusqu’au bout des voiles
Non seulement l’énergie de ces bateaux est fournie par le soleil, mais ils stockent en outre les eaux usées et les passent par trois filtres successifs composés de sable, gravier et charbon, avant de les rejeter dans le fleuve. Mieux, ils ne rejettent aucun déchet dans le Nil. La cerise sur le gâteau ? Une partie de la nourriture servie à bord (poissons, agneau, fruits…) est achetée dans les villages dans lesquels les bateaux font escale. On ne les en dégustera qu’avec plus de plaisir. Alors, pour ceux que la sempiternelle « croisière sur le Nil » n’inspirait que modérément, il est grand tems de changer d’avis et de réserver !
Si l’on vous dit que Fleuves du Monde renouvelle le genre, c’est notamment parce qu’il est tout bonnement le premier tour-opérateur à proposer, avec les croisières Lazuli, des bateaux de croisière fonctionnant à l’énergie solaire.Connaissez-vous les dahabiehs, ces bateaux à deux voiles latines utilisés à partir du XIXe siècle pour les Pachas, archéologues et premiers touristes explorant l’Egypte ? Remis au goût du jour pour notre plus grand plaisir, ils offrent l’avantage d’être à la fois confortables et très intimistes, avec leur 6 cabines et 12 passagers maximum. Pour un peu on croirait y croiser Hercule Poirot !
Ecologique jusqu’au bout des voiles
Non seulement l’énergie de ces bateaux est fournie par le soleil, mais ils stockent en outre les eaux usées et les passent par trois filtres successifs composés de sable, gravier et charbon, avant de les rejeter dans le fleuve. Mieux, ils ne rejettent aucun déchet dans le Nil. La cerise sur le gâteau ? Une partie de la nourriture servie à bord (poissons, agneau, fruits…) est achetée dans les villages dans lesquels les bateaux font escale. On ne les en dégustera qu’avec plus de plaisir. Alors, pour ceux que la sempiternelle « croisière sur le Nil » n’inspirait que modérément, il est grand tems de changer d’avis et de réserver !
Janvier 2011
Par Rémi PELLETIER