Couach : Un noeud d'avance
Après trois années difficiles entre risque de naufrage, rachat puis disparition dramatique de son dirigeant, Couach est revenu à la surface pour prendre une longueur d'avance avec un évènement rare dans le petit monde du nautisme : un Super Yacht de 50 m, La Pellegrina, qui positionne le constructeur français parmi les grands qui comptent sur la scène internationale.
Couach : Le vent en poupe
C'est un challenge de taille qu'a relevé Couach : celui de s'imposer sur le segment des grands navires afin de s'affranchir des difficultés et de la concurrence rude auxquelles doivent faire face la majorité des acteurs des petits yachts en période de crise. Objectif : passer de 37 à 50 mètres et pénétrer ipso-facto un marché de niche jusque là en majeure partie réservé aux allemands, italiens et néerlandais. Bonne nouvelle, le chantier girondin fait irruption dans le marché de la très grande plaisance la tête haute à la faveur d'une production plutôt éblouissante : La Pellegrina.
Une réussite technique et esthétique
Rien à redire, La Pellegrina répond présent sur toute la ligne avec un faisceau de matériaux d’exception (kevlar et renforts en carbone en tête), une coque s'avérant être la plus grande pièce jamais moulée selon le procédé spécifique d’infusion d’un seul tenant, une carène en « V » autorisant un confort de navigation sans comparaison et surtout des moteurs de dernières générations (2 x 5.300 cv) mobilisant un poids record de seulement 296 tonnes pour une unité de cette taille. Résultat : lancée à pleine vitesse La Pellegrina peut atteindre la vitesse record de 30nds, du jamais vu sur une unité de cette taille.
Sur le registre du confort, même satisfaction, l’espace de vie imaginé par le designer Jean Pierre Fantini et décoré par Danièle Chopard, touche à ce que le luxe offre de meilleur sur l'ensemble de ses 500 m2 habitables. Le must ? La cabine armateur au pont supérieur, sa vue panoramique, son pont terrasse privatif et sa salle de bain en marbre blanc équipée d’un hammam et d’un vaste dressing. A cela s'ajoutent un immense salon-salle à manger de quelque 75 m2, deux cuisines, un bar avec plancha ou encore un jacuzzi de 6 places. Mille atouts qui devraient finir de séduire une clientèle ô combien exigeante.
C'est un challenge de taille qu'a relevé Couach : celui de s'imposer sur le segment des grands navires afin de s'affranchir des difficultés et de la concurrence rude auxquelles doivent faire face la majorité des acteurs des petits yachts en période de crise. Objectif : passer de 37 à 50 mètres et pénétrer ipso-facto un marché de niche jusque là en majeure partie réservé aux allemands, italiens et néerlandais. Bonne nouvelle, le chantier girondin fait irruption dans le marché de la très grande plaisance la tête haute à la faveur d'une production plutôt éblouissante : La Pellegrina.
Une réussite technique et esthétique
Rien à redire, La Pellegrina répond présent sur toute la ligne avec un faisceau de matériaux d’exception (kevlar et renforts en carbone en tête), une coque s'avérant être la plus grande pièce jamais moulée selon le procédé spécifique d’infusion d’un seul tenant, une carène en « V » autorisant un confort de navigation sans comparaison et surtout des moteurs de dernières générations (2 x 5.300 cv) mobilisant un poids record de seulement 296 tonnes pour une unité de cette taille. Résultat : lancée à pleine vitesse La Pellegrina peut atteindre la vitesse record de 30nds, du jamais vu sur une unité de cette taille.
Sur le registre du confort, même satisfaction, l’espace de vie imaginé par le designer Jean Pierre Fantini et décoré par Danièle Chopard, touche à ce que le luxe offre de meilleur sur l'ensemble de ses 500 m2 habitables. Le must ? La cabine armateur au pont supérieur, sa vue panoramique, son pont terrasse privatif et sa salle de bain en marbre blanc équipée d’un hammam et d’un vaste dressing. A cela s'ajoutent un immense salon-salle à manger de quelque 75 m2, deux cuisines, un bar avec plancha ou encore un jacuzzi de 6 places. Mille atouts qui devraient finir de séduire une clientèle ô combien exigeante.
Octobre 2012
