la R25 de Renault : Le luxe de la F1
A Monaco Renault F1 Team vient de présenter à la presse du monde entier son dernier bijou, la R 25.
Cette monoplace de Formule 1 est un joyau de Haute Technologie - comme on parle de Haute Couture - qui offre le luxe de la recherche de la performance pure. Une R 25 sur une piste est comparable à un top model sur un podium de Haute Couture. La Formule 1, on l'oublie parfois, est actuellement l'un des domaines où la recherche de l'excellence est poussée au plus haut point et Renault en témoigne avec la sortie de cette superbe voiture.
Cette monoplace de Formule 1 est un joyau de Haute Technologie - comme on parle de Haute Couture - qui offre le luxe de la recherche de la performance pure. Une R 25 sur une piste est comparable à un top model sur un podium de Haute Couture. La Formule 1, on l'oublie parfois, est actuellement l'un des domaines où la recherche de l'excellence est poussée au plus haut point et Renault en témoigne avec la sortie de cette superbe voiture.
Comme la Haute Couture pour les couturiers, la F1 constitue une vitrine pour les constructeurs
Renault a toujours innové que ce soit dans le monde du sport ou tout simplement en tant que constructeur automobile. Le "créateur" français a toujours refusé de suivre les schémas prédéfinis et préfère toujours proposer sa solution. Ainsi, Renault a été la seule écurie de F1 à proposer le moteur avec un angle de 112° lors de la saison dernière. Le constructeur a décidé de l'abandonner pour un moteur à angle plus conventionnel de 72°, mais Renault à osé et cela aurait pu marcher... Si la F1 est ce qu'elle est aujourd'hui c'est entre autres, grâce à Renault. Comme la Haute Couture pour les couturiers elle constitue une vitrine pour les constructeurs et les stimule dans la recherche de l'innovation et de l'excellence.
Quelques chiffres :
- Il faut près de 800 personnes pour concevoir et fabriquer châssis et moteur sà l'usine de Viry-Châtillon et à Enstone durant les 12 à 18 mois qui vont de la conception à la mise en route sur piste.
- Il faut près de 10.000 dessins pour la mise au point d'une monoplace.
- On compte près de 3.000 composants dans le châssis et 5.000 pièces dans le moteur...
- L'écurie use 2.600 pneus Michelin par saison.
- La consommation monte à environ 28.000 litres d'essence sans plomb par saison.
Les matériaux : une combinaison unique de légèreté, souplesse, solidité et résistance
Titane, aluminium, Inconel (résistant à très haute température), résine, Nomex (dans les combinaisons des pilotes), kevlar (pour empêcher la casse de pièces en carbone) font partie des matériaux utilisés pour produire ces bijoux de Haute Technologie.
Certaines pièces, comme le pot d'échappement et les radiateurs, demandent une telle précision de réalisation qu'elles sont produites à la main.
Le pot d'échappement est le fruit d'un véritable travail d'orfèvre : deux personnes sont en charge de sa seule fabrication. Elles travaillent à la main (séparation partie droite/partie gauche) pendant deux jours et demi pour assembler les différents tubes. Au total, elles en produisent trois jeux tous les quinze jours.
La fibre de carbone : du tissu sur mesure pour la monoplace
La fibre de carbone est appliquée sur mesure sur la voiture. Elle est deux fois plus résistante et cinq fois plus légère que l'acier. Le but est de rendre la voiture la plus légère possible avec un minimum de 600Kg à respecter impérativement sous peine d'être disqualifié.
Le moule du châssis est élaboré en LTM (Low Temperature Moulding) carbone dans lequel on applique la fibre de carbone en couches avant de créer le vide afin que les couches épousent parfaitement le moule, sans défaut, et que la résine dans le fibre de carbone coule puis durçisse. ensuite on applique une couche de nid d'abeille en aluminium, puis une seconde fois la fibre de carbone avant de cuire le tout dans des fours autoclaves. Objectif : zéro défaut pour assurer la qualité et la résistance du châssis.
Quant au châssis son coeur est constitué d'une structure en aluminium en nid d'abeille pour garantir une souplesse latérale et résistante
Le volant : un concentré de technologie informatique
L'électronique est une partie importante de la voiture car elle intervient dans le moteur, la boîte de vitesse, le volant, et bien sûr dans la récolte des mesures et données diverses.
Le volant est la pièce la plus sophistiquée et la plus onéreuse de la voiture, hormis le moteur. Le boîtier électronique dernière génération appelé Step 11 équivaut à 100 disques durs de desktop...
Rappelons qu'en en terme de sécurité, il n'y a pas plus sûr qu'une voiture de Formule 1. La sécurité est quasi-totale à très haute vitesse et ce paradoxe n'est pas le moindre des luxes de la Formule 1
Renault a toujours innové que ce soit dans le monde du sport ou tout simplement en tant que constructeur automobile. Le "créateur" français a toujours refusé de suivre les schémas prédéfinis et préfère toujours proposer sa solution. Ainsi, Renault a été la seule écurie de F1 à proposer le moteur avec un angle de 112° lors de la saison dernière. Le constructeur a décidé de l'abandonner pour un moteur à angle plus conventionnel de 72°, mais Renault à osé et cela aurait pu marcher... Si la F1 est ce qu'elle est aujourd'hui c'est entre autres, grâce à Renault. Comme la Haute Couture pour les couturiers elle constitue une vitrine pour les constructeurs et les stimule dans la recherche de l'innovation et de l'excellence.
Quelques chiffres :
- Il faut près de 800 personnes pour concevoir et fabriquer châssis et moteur sà l'usine de Viry-Châtillon et à Enstone durant les 12 à 18 mois qui vont de la conception à la mise en route sur piste.
- Il faut près de 10.000 dessins pour la mise au point d'une monoplace.
- On compte près de 3.000 composants dans le châssis et 5.000 pièces dans le moteur...
- L'écurie use 2.600 pneus Michelin par saison.
- La consommation monte à environ 28.000 litres d'essence sans plomb par saison.
Les matériaux : une combinaison unique de légèreté, souplesse, solidité et résistance
Titane, aluminium, Inconel (résistant à très haute température), résine, Nomex (dans les combinaisons des pilotes), kevlar (pour empêcher la casse de pièces en carbone) font partie des matériaux utilisés pour produire ces bijoux de Haute Technologie.
Certaines pièces, comme le pot d'échappement et les radiateurs, demandent une telle précision de réalisation qu'elles sont produites à la main.
Le pot d'échappement est le fruit d'un véritable travail d'orfèvre : deux personnes sont en charge de sa seule fabrication. Elles travaillent à la main (séparation partie droite/partie gauche) pendant deux jours et demi pour assembler les différents tubes. Au total, elles en produisent trois jeux tous les quinze jours.
La fibre de carbone : du tissu sur mesure pour la monoplace
La fibre de carbone est appliquée sur mesure sur la voiture. Elle est deux fois plus résistante et cinq fois plus légère que l'acier. Le but est de rendre la voiture la plus légère possible avec un minimum de 600Kg à respecter impérativement sous peine d'être disqualifié.
Le moule du châssis est élaboré en LTM (Low Temperature Moulding) carbone dans lequel on applique la fibre de carbone en couches avant de créer le vide afin que les couches épousent parfaitement le moule, sans défaut, et que la résine dans le fibre de carbone coule puis durçisse. ensuite on applique une couche de nid d'abeille en aluminium, puis une seconde fois la fibre de carbone avant de cuire le tout dans des fours autoclaves. Objectif : zéro défaut pour assurer la qualité et la résistance du châssis.
Quant au châssis son coeur est constitué d'une structure en aluminium en nid d'abeille pour garantir une souplesse latérale et résistante
Le volant : un concentré de technologie informatique
L'électronique est une partie importante de la voiture car elle intervient dans le moteur, la boîte de vitesse, le volant, et bien sûr dans la récolte des mesures et données diverses.
Le volant est la pièce la plus sophistiquée et la plus onéreuse de la voiture, hormis le moteur. Le boîtier électronique dernière génération appelé Step 11 équivaut à 100 disques durs de desktop...
Rappelons qu'en en terme de sécurité, il n'y a pas plus sûr qu'une voiture de Formule 1. La sécurité est quasi-totale à très haute vitesse et ce paradoxe n'est pas le moindre des luxes de la Formule 1
Février 2005
Par Yves CALMEJANE
Le prix d'une saison en Formule 1...
Selon une estimation entièrement empruntée au site cololotwin.com voici une liste des accessoires et services nécessaires ainsi que leur coût lors d'une saison de Formule 1.
Ce catalogue permet de se faire une idée du luxe déployé à ce niveau et de l'extraordinaire exigence de qualité nécessaire pour être présent en Formule 1.
Chaque voiture coûte environ 2.185.350 € (14.334.956 F) seulement en pièces.
À cela il faut rajouter le développement et les salaires.
Il en faut de 5 à 8 par saison (au minimum 4 pour l'équipe course, 2 pour l'équipe essai et 2 de secours). Prix unitaire: 157.870 € (1.035.559F).
Il en faut de 15 à 17 par saison (avec un minimum de 6 pour le premier Grand Prix). Prix unitaire: 92.140 € (604.398.F). Le coût du développement total peut atteindre 4.370. 000 € (28.665.320F) par année car chaque pignon vaut de 395 € (2.591F) à 437 € (2.866F) et il en faut environ 1.200 par année.
Il en faut de 50 à 60 ensembles par saison. Prix unitaire: 13.127 € (86.107 F) pour ceux qui sont en carbone.
Il en faut environ 20 paires par saison. Prix unitaire: (avec joint de transmission) 9.326 € (61.174 F) (acier spécial) et 34.557 € (226.679F) (MMX).
En titane, le prix varie entre 9.185 € (60.251 F) et 12 127 € (79.550 F) selon le travail. Son prix peut atteindre 183.992 €(1.206.912 F) si elle est livrée prête à rouler, avec activateurs hydrauliques et capteurs.
Le prix du moteur est très difficile à chiffrer car il varie beaucoup d'une équipe à l'autre et il est la plupart du temps, fourni par le motoriste. On peut avoir une idée de ce qu'il peut valoir en analysant les moteurs Ferrari. Le partenariat Ferrari peut fournir 130 moteurs pour la somme de 52.072.000 € (341.569.929 F) pour l'année 2003. C'est ce qu'il fallait jusqu'à présent pour une saison complète en Grand Prix et en essai privé. Un moteur Ferrari vaut donc à peu près 396.307€ (2.599.603F) . Les moteurs Mercedes et BMW ont sensiblement la même valeur et les autres un peu moins, mais ils ne demeurent pas moins dispendieux.
Il en faut de 45 à 55 jeux de 2 par saison, et chaque jeu vaut de 15.787 € (103.555 F) à 17.940 € (117.678 F).
On les changent après 2 ou 3 courses. Prix unitaire: 17.078 € (112.030 F) le jeux de deux (eau/huile).
Il en faut de 6 à 10 par saison et leur capacité est d'environ 100 kg d'essence. Prix unitaire: 15.327 € (100.539 F).
Elle est poncée et repeinte après chaque course et reçoit de nouveaux autocollants. Il en faut environ 10 par saison. Le prix unitaire est de 52.528 € (344.563 F).
Chaque rétroviseur vaut environ 1.578 € (10.355 F).
Il en faut environ 10 par saison selon les accrochages ou accidents. Prix unitaire: 52.528 € (344.563 F).
Il faut environ 10 jeux par saison. Prix unitaire avec support de boîte de vitesse: 21.240 € (139.331 F). Un seul flap vaut de 2.625 € (17.223 F )à 3.946 € (25.889 F).
Il faut environ de 20 à 30 jeux par saison. Prix par collection: 61.272 € (401.917 F) le jeu de 4, flexure comprise.
Chaque jeu vaut environ 21.879 € (143.519 F), flexure comprise.
Chaque pièce vaut environ 10.948 € (71.814 F) et il en faut 4. À cela il faut ajouter une barre de torsion qui vaut entre 2.300 € (15.087 F) (avant) et 3.372 € (22.123 F) (arrière); ainsi qu'un basculeur généralement en titane qui vaut entre 7.636 € (50.088 F) (avant) et 10.720 € (70.323 F) (arrière).
Il s'agit d'une petite pièce métallique (titane) en lame de couteau, reliant le triangle à la coque, et remplaçant les anciennes rotules. Il en faut 2 par triangle et il faut les remplacer en même temps. Prix unitaire: 2.625 € (17.223 F).
Les prix varient selon le contrat. Pour les 2 voitures et le mulet le coût est de 2.626.641 € (1.722.815 F) par saison, sans assistance; et de 699.457 € (4.588.141 F) par saison avec ingénieur sur le terrain.
Pour la saison, il faut de 60 à 80 jeux de 4 disques, 8 plaquettes et de 24 à 52 étriers suivant le budget. Prix (le jeu de 4 disques et 8 plaquettes): 8.611 € (56.485 F) et 5.482 € (35.961 F) pour l'étrier.
Il en faut 4 et leur prix comprend la fabrication du moule. Prix unitaire: de 1.048€ (6.879 F) à 1.312 € (8.611 F) selon la complexité de la fabrication.
Il en faut de 3 à 5 par année; avec contrôle périodique d'usure et de fêlure. Prix unitaire: 2.884 € (18.919 F) à 4.377 € (28.713 F).
Il en faut environ 680 par saison par voiture. Les écuries les plus riches peuvent tripler ce chiffre. Chaque pneu vaut environ 1.046€ (6.867 F). Ce qui représente pour les écuries de pointe, un budget de : 2.093.734 € (13.734.000 F)
Il en faut de 12 à 18 paires par saison. Prix unitaire (titane): de 13.784 € (90.419 F) à 16.418 € (107 697 F); (MMX): de 48.245 € (316.471 F) à 57.464 € (376.939 F ).
Porte-moyeux arrière
Il en faut de 12 à 18 paires par saison. Prix unitaire (titane): de 16.848 € (110.521 F) à 21.879 € (143.519 F); (MMX): de 58.971 € (386.824 F) à 76.578 € (502.319 F).
Il en faut 4 unités par voiture et il faut les changer aussi souvent que les porte-moyeux. Prix unitaire: 3.286 € (21.556 F) (avant) et 7.656 € (50.221 F) (arrière).
Il faut de 45 à 90 jeux par saison. En conditions normales elles couvrent 5 week-ends de Grands Prix. Prix (le jeu de 4) : 5.308 € (34.820 F) et plus selon la personnalisation.
Il faut environ 480 pièces par saison pour celles en aluminium 157 € (1.031 F) chacune) et environ 240 pièces par saison pour celles en acier 216 € (1.418 F) chacune).
La mode étant au modèle intégré (avec boutons, leviers, mollettes et écran de contrôle), la partie mécanique dure l'équivalent d'une demi-saison, l'électronique interne de 2 à 5 week-ends de course. Il en faut de 8 à 12 par saison et chaque volant vaut environ 52.528 € (344.563 F).
La direction seule vaut 3.300 € (21.652 F) et avec boîtier 5.467 € (35.864 F). Si on a une direction assistée, il faut rajouter 10.936 € (71.735 F).
Une seule pédale vaut 6.572 € (43.112 F) (titane) et le pédalier au complet (2 pédales et support) vaut 21.879 € (143.520 F) .
Chaque voiture comprend 1 faisceau boîte, 1 faisceau moteur et 1 faisceau châssis. Il faut les changer à toute les 3 ou 4 courses. Le coût par voiture pour une saison est de 78. 200 € (512.958 F) et de 394.680 € (2.588.931F) pour l'équipe.
Elle comprend la gestion électronique du moteur, de la boîte de vitesse, du châssis, la gestion traditionnelle et la télémétrie avec assistance technique sur place. Le budget par équipe par saison est de 1.794.000 € (11.767.868 F) . Si on ajoute le départ automatique, l'antipatinage, le différentiel piloté et d'autres subtilités électroniques permises par la FIA, ce budget peut atteindre 5.244.000 € (34.398.385 F) par an.
Le nombre des essais privés varie d'une écurie à l'autre, les "grosses équipes" peuvent faire prés de 200 séances, contre une quarantaine pour les plus modestes.
- Quand les courses se déroulent en Europe il y a peu de difficulté. Les voies autoroutières sont les plus pratiques. Trois camions articulés, plus un appartement au motoriste, un motor-home "écurie" destiné aux réunions techniques, un autre réservé aux conférences de presses, un troisième appartenant au motoriste où se restaurent les mécaniciens de l'équipe partenaire. Les hommes eux sont conduits en avion de ligne pour ceux qui se lèvent tôt et repartent tard et les autres en avions privés. Les pneus arrivent de leur coté les moteurs du leur. Le prix d'une remorque varie de 437.000 € (2.866.532 F) à 862.400 € (4.345.059 F) selon son équipement intérieur, et le tracteur qui va avec, vaut de 131. 284 € (861.167 F) à 196.880 € (1.291.448 F) .Les frais de déplacement en Europe coûtent environ 16.560 € (108.626 F).
Cela se complique lorsque les courses se déroulent loin comme l'Australie. Quoi que la moitié des frais soit remboursé par la FOA (Formula One Management), il n'en est pas moins que chaque déplacement met en marche l'aspirateur a billets. Trois monoplaces, une coque de secours, les pièces de rechanges utiles pour reconstituer deux ou trois voitures supplémentaires, huit collections d'ailerons, 26 trains de roues, les machines à ravitailler, le matériel du stand, l'outillage, les armoires électroniques... au total pas moins de 18 tonnes reparties en 70 caisses. Le tout transporté dans un Boeing 747 cargo aux prix de 22.7€ ( 148.90 F) le kg.
Un Grand Prix disputé à l'extérieur de l'Europe coûte au total environ 745.200 €(4.888.191 F) contre 151.800 € (995.742 F) à en Europe. Une seule exception: Monaco coûte 372.600 € (2.444.095 F).
- Les liaisons téléphoniques et télémétriques coûtent par Grand Prix, de 7.751 € à 10.938 € (de 50.843 F à 71.749 F )en Europe. Il faut compter le double outre-mer.
- Pour ce qui est du personnel, prenons par exemple l'écurie McLaren qui déplace 80-90 personnes en Europe et 70-80 personnes outre-mer, plus 2 à 5 techniciens carburants/lubrifiants et 2 à 5 représentants des commanditaires. Donc dans une saison, il faut compter environ 2.000 billets d'avion, 1.450 chambres d'hôtel pour les courses et 780 de plus pour le programme d'essais privés.
Une vingtaine de combinaisons par pilotes (de 1.610 €à 1.840 €) (de 10.561 F à 12.070 F) dans lesquels ont en retrouvent avec ou sans publicité de tabac selon les pays fréquentés. Plus toutes les combinaisons de mécaniciens (celles d'été et celles d'hiver), plus les vêtements pluie. Au total, rien que pour les vêtements, le budget est de plus ou moins 184.000 € (1.206.961 F)par an !
Les casques coûtent très cher mais les pilotes en ont beaucoup : Schumacher à lui seul en a plus de 200 et il ne s'en servira sûrement pas de tous mais les amateurs de ventes aux enchères vont être ravis! Senna, lui, se contentait de 4 ou 5 casques par an.
Et des diamants...
Ce descriptif fourni sur le site colotwin.com ne comprend pas tout... et notamment pas les quatre diamants d'une valeur de 140.000 livres (environ 200.000 euros) chacun, que le diamantaire Steinmetz avait offerts pour équiper les voitures Jaguar lors du Grand Prix de Monaco de 2004 !
Mark Webber, l'un des pilotes, avait déclaré avant la course "une erreur ce week-end coutera plus cher que d'habitude." Effectivement : Une des voitures a perdu son bijou lorsqu'elle a quitté la piste dans le virage Mirabeau... On ne sait pas ce qu'il est advenu de cette pièce, rare tout de même sur une F1 !
