Le Murano Urban Resort : urbain et design
Paris, la capitale des lumières s'est dotée d'un lieu à son image, moderne, élégant, sensuel et extravagant, le Murano. Incarnant un nouvel art de vivre "à la parisienne", il est situé à deux pas du cirque d'Hiver. Pour Jérome Foucaud, le directeur de l'établissement, cet endroit unique s'adresse à une tribu de voyageurs urbains et branchés.
Lignes épurées et design ultra moderne
Lignes épurées, jeux de transparence et design ultra moderne tranchent avec le classicisme de la façade blanche laquée XIXème. Belle signature du tandem Christiane Derory et Raymond Morel qui emmènent l'hôte en voyage.
L'hôtel peut surprendre, car ici tout est virginal. Hymne au blanc aussi bien pour le marbre, les murs et le canapé Chesterfiel King size du lobby que pour les moquettes épaisses ou les chambres juchées sur des podiums. A la réception, seule l'empreinte digitale du client lui permettra d'ouvrir la porte de sa chambre.
Couleurs et formes
Celles-ci rayonnent de tonalités intenses, bleu indigo, citron vert, rose, turquoise, vert ou jaune grâce à un système d'éclairage ultra simple. Entrer dans une chambre ou dans une suite, c'est comme pénétrer dans le tableau d'un artiste qui aurait un extraordinaire sens des couleurs et des formes. Les espaces sont fluides, rythmés par des lignes droites. Les intérieurs sont nimbés d'une lumière qui exalte de façon saisissante les couleurs vives. Cubes lumineux nichés dans les murs, images ou portraits accrochés au-dessus du lit, parti pris de noir et de blanc pour les salles de bain, baignoire ovale qui trône sur un sol en ardoise avec incrustation de galets, tout est étonnant.
Bien entendu, le high-tech dernier cri est ici présent (lecteur DVD, ADSL ou écran LCD).
Pour les VIP, l'hôtel offre également deux suites avec terrasse et petite piscine privée, véritables bulles, au sein de la frénésie parisienne.
Pour voir et être vu
Au bar en ardoise, les couleurs orange, rouge et violet, se juxtaposent aussi sur les murs, habillés de feutrine. Des formes originales, comme le sofa Marshmallow dessiné par George Nelson ou les sièges tulipes en feutrine de Johansen, invitent à s'asseoir pour voir ou être vu. Les passionnés de vodka vont être aux anges, la carte proposant 140 références ainsi que d'étonnants cocktails.
Dans la salle principale du restaurant dallée de marbre blanc, même sens du détail et de l'inédit avec des stalactites qui animent le décor.
Deux salons plus intimes, aux murs capitonnés irisés et appliques en verre de Borek Sipek, accueillent également 30 et 15 personnes, pour un dîner plus privé.
A essayer sans aucun doute, pour des nuits parisiennes saupoudrées d'excentricité.
Lignes épurées, jeux de transparence et design ultra moderne tranchent avec le classicisme de la façade blanche laquée XIXème. Belle signature du tandem Christiane Derory et Raymond Morel qui emmènent l'hôte en voyage.
L'hôtel peut surprendre, car ici tout est virginal. Hymne au blanc aussi bien pour le marbre, les murs et le canapé Chesterfiel King size du lobby que pour les moquettes épaisses ou les chambres juchées sur des podiums. A la réception, seule l'empreinte digitale du client lui permettra d'ouvrir la porte de sa chambre.
Couleurs et formes
Celles-ci rayonnent de tonalités intenses, bleu indigo, citron vert, rose, turquoise, vert ou jaune grâce à un système d'éclairage ultra simple. Entrer dans une chambre ou dans une suite, c'est comme pénétrer dans le tableau d'un artiste qui aurait un extraordinaire sens des couleurs et des formes. Les espaces sont fluides, rythmés par des lignes droites. Les intérieurs sont nimbés d'une lumière qui exalte de façon saisissante les couleurs vives. Cubes lumineux nichés dans les murs, images ou portraits accrochés au-dessus du lit, parti pris de noir et de blanc pour les salles de bain, baignoire ovale qui trône sur un sol en ardoise avec incrustation de galets, tout est étonnant.
Bien entendu, le high-tech dernier cri est ici présent (lecteur DVD, ADSL ou écran LCD).
Pour les VIP, l'hôtel offre également deux suites avec terrasse et petite piscine privée, véritables bulles, au sein de la frénésie parisienne.
Pour voir et être vu
Au bar en ardoise, les couleurs orange, rouge et violet, se juxtaposent aussi sur les murs, habillés de feutrine. Des formes originales, comme le sofa Marshmallow dessiné par George Nelson ou les sièges tulipes en feutrine de Johansen, invitent à s'asseoir pour voir ou être vu. Les passionnés de vodka vont être aux anges, la carte proposant 140 références ainsi que d'étonnants cocktails.
Dans la salle principale du restaurant dallée de marbre blanc, même sens du détail et de l'inédit avec des stalactites qui animent le décor.
Deux salons plus intimes, aux murs capitonnés irisés et appliques en verre de Borek Sipek, accueillent également 30 et 15 personnes, pour un dîner plus privé.
A essayer sans aucun doute, pour des nuits parisiennes saupoudrées d'excentricité.
Décembre 2005
Par Katya PELLEGRINO