Hiramatsu : Un Japonais à Paris
Attention, comme son nom ne l'indique pas, Hiramatsu est bien le nouveau chantre de la gastronomie française. A des années lumières des makis et autres soupes Miso, le chef nous propose des grands classiques de notre cuisine, travaillés à sa manière, épurée. Les seize couverts de l'Ile Saint-Louis se faisant trop étroits, le chef débarque désormais dans le 16e arrondissement, direction Rue de Lonchamp.
La nouvelle vie des classiques
Avec ses 24 établissements ultra-fréquentés au Japon, Hiroyuki Hiramatsu n'a pas abordé la France sans baguette, loin de là. Sûr de sa maîtrise exemplaire des cuissons, des assaisonnements et des produits les plus nobles, le chef part à la rencontre des classiques de la gastronomie française pour leur offrir un nouveau souffle. Ce sera un Carpaccio de pigeon aux truffes d'été sur une rosace de céleri-rave, un Croustillant de pieds de porc à l'ail doux, tomates étuvées au vinaigre balsamique ou bien un Mi-cuit de langoustines au basilic, consommé aux crustacés, rien que du très fin, habilement accompagné grâce aux conseils avisés de Michel Le Meur, Chef sommelier.
Haro sur les fioritures !
Une chose est certaine, ce n'est pas chez Hiramatsu que vous vous retrouverez entre deux enceintes diffusant une électro douteuse sous des néons propices au choc post-opératoire. Ici, la déco emprunte le meilleur à l'art déco, faisant danser le bois de Wengé et le cristal de Baccarat dans une ambiance chic sans fioriture. Les 30 privilégiés en salle ou les 8 heureux élus dans le salon cosy renouent ici avec la tradition zen du pays du Soleil Levant, la grande gastronomie en sus.
Avec ses 24 établissements ultra-fréquentés au Japon, Hiroyuki Hiramatsu n'a pas abordé la France sans baguette, loin de là. Sûr de sa maîtrise exemplaire des cuissons, des assaisonnements et des produits les plus nobles, le chef part à la rencontre des classiques de la gastronomie française pour leur offrir un nouveau souffle. Ce sera un Carpaccio de pigeon aux truffes d'été sur une rosace de céleri-rave, un Croustillant de pieds de porc à l'ail doux, tomates étuvées au vinaigre balsamique ou bien un Mi-cuit de langoustines au basilic, consommé aux crustacés, rien que du très fin, habilement accompagné grâce aux conseils avisés de Michel Le Meur, Chef sommelier.
Haro sur les fioritures !
Une chose est certaine, ce n'est pas chez Hiramatsu que vous vous retrouverez entre deux enceintes diffusant une électro douteuse sous des néons propices au choc post-opératoire. Ici, la déco emprunte le meilleur à l'art déco, faisant danser le bois de Wengé et le cristal de Baccarat dans une ambiance chic sans fioriture. Les 30 privilégiés en salle ou les 8 heureux élus dans le salon cosy renouent ici avec la tradition zen du pays du Soleil Levant, la grande gastronomie en sus.
Octobre 2007