La Sivolière : Le luxe anti bling bling
La Sivolière se veut "le secret le mieux gardé de Courchevel". Profitons-en donc avant que sa 5eme étoile, obtenue l'année dernière, ne finisse de "corrompre" la douce vie de chalet et l'authenticité ambiantes. Tout schuss sur l'adresse luxe la moins bling bling de la station !
Un relooking de l'entrée aux chambrées
Devant : des sapins. Derrière : des montagnes. Et là.... La Sivolière. Un chalet de quelque 24 chambres et 11 suites, construit dans la plus pure tradition savoyarde. Entendez : assignant à résidence le bois et la pierre et optant pour un raffinement douillet comme on les aime. En un mot, réconfortant. Derrière ce petit miracle d'architecture simple et mûrement pensée, un homme, Tristan Auer. Après le Jules à Paris et l'Almyra à Chypre, l'architecte d'intérieur et designer, ex-collaborateur de Starck et de Liaigre, s'est naturellement tourné vers l'hôtel de montagne, relevant le défi de conserver coûte que coûte l'héritage savoyard, boiseries et cachet des chambres en tête, tout en décalant ses choix décoratifs. Ici, des canapés japonisants ou Art Nouveau, là des tables en laque noire aux piètements de bois sablé côtoient les planches vieillies et la chaleur de lourds rideaux en velours cognac. Le parti-pris affiché de l'intime et du confortable ne boude pas donc pas pour autant le design le plus décomplexé, mais sans caractère ostentatoire. Sans conteste, une bien belle alchimie.
Les "plus" de la Sivolière
On ne le sait que trop, ce qui fait la force d'un hôtel, c'est avant tout de cultiver jalousement l'art de recevoir. Et dans ce domaine, la directrice de La Sivolière,Florence Carcassonne - un nom décidément prédestiné pour faire danser le tourisme - n'est pas en reste. Précurseur, à l'époque, en matière de "petits plus" qui font la différence (et qui ne la feront d'ailleurs un jour, homogénéisation oblige, peut-être plus...), comme l'iPhone dans les suites ou le "Sensitive Floor", jeu interactif pour les enfants en 3D, cette ex George V et Martinez s'essaie aujourd'hui à l'habillage sonore avec la DJette Cécile Togni. Pour le reste, entre le Ski Shop, la "Salle des enfants" et le "Dogsitting", le 5 étoiles s'avère être un must en matière de services. Cerise sur le gâteau savoyard : le personnel, fidèle de la première heure, entame cet hiver sa 5ème saison. Preuve, si besoin était, que l'on se sent décidément bien à La Sivolière !
Devant : des sapins. Derrière : des montagnes. Et là.... La Sivolière. Un chalet de quelque 24 chambres et 11 suites, construit dans la plus pure tradition savoyarde. Entendez : assignant à résidence le bois et la pierre et optant pour un raffinement douillet comme on les aime. En un mot, réconfortant. Derrière ce petit miracle d'architecture simple et mûrement pensée, un homme, Tristan Auer. Après le Jules à Paris et l'Almyra à Chypre, l'architecte d'intérieur et designer, ex-collaborateur de Starck et de Liaigre, s'est naturellement tourné vers l'hôtel de montagne, relevant le défi de conserver coûte que coûte l'héritage savoyard, boiseries et cachet des chambres en tête, tout en décalant ses choix décoratifs. Ici, des canapés japonisants ou Art Nouveau, là des tables en laque noire aux piètements de bois sablé côtoient les planches vieillies et la chaleur de lourds rideaux en velours cognac. Le parti-pris affiché de l'intime et du confortable ne boude pas donc pas pour autant le design le plus décomplexé, mais sans caractère ostentatoire. Sans conteste, une bien belle alchimie.
Les "plus" de la Sivolière
On ne le sait que trop, ce qui fait la force d'un hôtel, c'est avant tout de cultiver jalousement l'art de recevoir. Et dans ce domaine, la directrice de La Sivolière,Florence Carcassonne - un nom décidément prédestiné pour faire danser le tourisme - n'est pas en reste. Précurseur, à l'époque, en matière de "petits plus" qui font la différence (et qui ne la feront d'ailleurs un jour, homogénéisation oblige, peut-être plus...), comme l'iPhone dans les suites ou le "Sensitive Floor", jeu interactif pour les enfants en 3D, cette ex George V et Martinez s'essaie aujourd'hui à l'habillage sonore avec la DJette Cécile Togni. Pour le reste, entre le Ski Shop, la "Salle des enfants" et le "Dogsitting", le 5 étoiles s'avère être un must en matière de services. Cerise sur le gâteau savoyard : le personnel, fidèle de la première heure, entame cet hiver sa 5ème saison. Preuve, si besoin était, que l'on se sent décidément bien à La Sivolière !
Janvier 2011