Vins : La sélection de la rédaction
Qu'on les aime puissants, gras, épicés, fleuris, fruités, concentrés, longs en bouche, ou tout cela à la fois... A chaque dégustation, les vins révèlent un florilège de notes et de sensations nouvelles. Pour vous repérer devant une offre chaque jour plus dense et riche, suivez la sélection de la rédaction.
Château des Tours 2011
C'est le plus méridional des crus du Beaujolais : le Brouilly reste une valeur sure qui s'adapte avec grâce et agilité à tous les mets et se plie aisément à toutes les circonstances. Au-delà du rapport qualité-prix qui défie toute concurrence, on se laissera tenter par le millésime 2011 du Château des Tours. Derrière sa robe pourpre, un nez tout en pivoine et fruits noirs. A la dégustation, la bouche se fait généreuse, conviant des notes de cerise et de mûre. Impeccable sur une terrine, des viandes blanches et volailles, un agneau aux herbes ou un risotto.
Prix : 9 €
Château de Saint Louans 2009
Direction le terroir originel de Chinon à présent, là où se sont épanouies les premières vignes de ce qui sera plus tard l’Appellation. Entre le Clos du Pin et le Clos des Aubuis, les vignes du Château de Saint Louans nous offrent un millésime 2009 plutôt réjouissant. A la clé, un in généreux, charnu et fruité aux arômes de fruits des bois, de truffe. Sa structure ample, ronde et charmeuse devrait révéler tout son potentiel sur un agneau, du magret grillé ou un gibier à plumes.
Prix : 30 €
Château La Roque Cupa Numismae 2010
Le Château La Roque dévoile l’un des fleurons de sa gamme : le Pic Saint Loup Cupa Numismae 2010, littéralement la "cuvée du numismate". Pourquoi ce nom nous direz-vous ? Parce que ce domaine a caché un trésor sonnant et trébuchant ! Pour le reste, on appréciera à sa juste valeur ce millésime 2010 à la belle robe profonde et brillante évoquant le grenat et le rubis. Après aération, le vin gagne en intensité et en finesse, marqué par des notes gourmandes de fruits noirs : mûres, prunes, cerises noires. La bouche offre quant à elle un bel équilibre, avec des tannins soyeux sur une finale longue et discrètement toastée qui devrait faire merveille sur un tournedos de porc noir de Bigorre façon Rossini, un saucisson truffé chaud ou encore d’un carré d’agneau aux épices douces.
Prix : 16 €
Château Corbin 2010
C'est l’une des plus anciennes propriétés de Saint-Emilion, comme en témoignent les fondations du XVème siècle d’une demeure ayant appartenu au Prince Noir ; mieux, c'est un vin qui s'est transmis depuis quatre générations par des femmes : bref le Château Corbin 2010 a tout a priori pour séduire. A la dégustation, rien à redire, ce Grand Cru classé de Saint-Emilion ne déçoit pas, révélant au nez des notes fruitées d'une grande finesse rehaussées d'une note subtile de mûriers sauvages. En bouche, le vin est riche dans un premier temps puis se fait ample et puissant puis finit de nous convaincre par sa très bonne longueur.
Prix : 38 €
Domaine de Trévallon rouge 2004
2004, millésime de l’après-canicule, signe un retour aux grands classiques à Trevallon et surtout atteste que le Cabernet- Sauvignon peut faire des merveilles dans cette région et que les rouges provençaux peuvent, eux aussi, être des vins de grande garde. Bilan : un nez de fruits rouges et noirs qui évolue vers la figue. Une bouche droite sur des tanins veloutés mais encore jeunes qui augurent de très belle longévité à ce vin. Un vin juteux, salivant avec des notes salines et de garrigue particulièrement bienvenues sur viandes tendres (médaillon de veau aux morilles) ou longuement mijotées (gigot de 5 heures) mais aussi sur des gibiers et plats à base de truffe.
Prix : 52 €
C'est le plus méridional des crus du Beaujolais : le Brouilly reste une valeur sure qui s'adapte avec grâce et agilité à tous les mets et se plie aisément à toutes les circonstances. Au-delà du rapport qualité-prix qui défie toute concurrence, on se laissera tenter par le millésime 2011 du Château des Tours. Derrière sa robe pourpre, un nez tout en pivoine et fruits noirs. A la dégustation, la bouche se fait généreuse, conviant des notes de cerise et de mûre. Impeccable sur une terrine, des viandes blanches et volailles, un agneau aux herbes ou un risotto.
Prix : 9 €
Château de Saint Louans 2009
Direction le terroir originel de Chinon à présent, là où se sont épanouies les premières vignes de ce qui sera plus tard l’Appellation. Entre le Clos du Pin et le Clos des Aubuis, les vignes du Château de Saint Louans nous offrent un millésime 2009 plutôt réjouissant. A la clé, un in généreux, charnu et fruité aux arômes de fruits des bois, de truffe. Sa structure ample, ronde et charmeuse devrait révéler tout son potentiel sur un agneau, du magret grillé ou un gibier à plumes.
Prix : 30 €
Château La Roque Cupa Numismae 2010
Le Château La Roque dévoile l’un des fleurons de sa gamme : le Pic Saint Loup Cupa Numismae 2010, littéralement la "cuvée du numismate". Pourquoi ce nom nous direz-vous ? Parce que ce domaine a caché un trésor sonnant et trébuchant ! Pour le reste, on appréciera à sa juste valeur ce millésime 2010 à la belle robe profonde et brillante évoquant le grenat et le rubis. Après aération, le vin gagne en intensité et en finesse, marqué par des notes gourmandes de fruits noirs : mûres, prunes, cerises noires. La bouche offre quant à elle un bel équilibre, avec des tannins soyeux sur une finale longue et discrètement toastée qui devrait faire merveille sur un tournedos de porc noir de Bigorre façon Rossini, un saucisson truffé chaud ou encore d’un carré d’agneau aux épices douces.
Prix : 16 €
Château Corbin 2010
C'est l’une des plus anciennes propriétés de Saint-Emilion, comme en témoignent les fondations du XVème siècle d’une demeure ayant appartenu au Prince Noir ; mieux, c'est un vin qui s'est transmis depuis quatre générations par des femmes : bref le Château Corbin 2010 a tout a priori pour séduire. A la dégustation, rien à redire, ce Grand Cru classé de Saint-Emilion ne déçoit pas, révélant au nez des notes fruitées d'une grande finesse rehaussées d'une note subtile de mûriers sauvages. En bouche, le vin est riche dans un premier temps puis se fait ample et puissant puis finit de nous convaincre par sa très bonne longueur.
Prix : 38 €
Domaine de Trévallon rouge 2004
2004, millésime de l’après-canicule, signe un retour aux grands classiques à Trevallon et surtout atteste que le Cabernet- Sauvignon peut faire des merveilles dans cette région et que les rouges provençaux peuvent, eux aussi, être des vins de grande garde. Bilan : un nez de fruits rouges et noirs qui évolue vers la figue. Une bouche droite sur des tanins veloutés mais encore jeunes qui augurent de très belle longévité à ce vin. Un vin juteux, salivant avec des notes salines et de garrigue particulièrement bienvenues sur viandes tendres (médaillon de veau aux morilles) ou longuement mijotées (gigot de 5 heures) mais aussi sur des gibiers et plats à base de truffe.
Prix : 52 €
Novembre 2013
Par Sean Cloud