Des soieries historiques au château de Fléville
Les documents anciens et la collection "Patrimoine" de Tassinaret Chatel sont accueillis au château deFléville pour la période estivale par les propriétaires des lieux, conscients de la valeur des étoffes présentées dans ce cadre historique parfaitement adapté.
Situé à Fléville-devant-Nancy, à 10 Km au sud de Nancy, le château de Fléville est la demeure du Comte et de la Comtesse de Lambel. Haut lieu de l'histoire lorraine, il est classé "monument historique".
Meublé et habité du Moyen-Age à nos jours<
Vieux de sept siècles, ce château décline le Moyen-Age, avec un donjon de 1320 qui a résisté à la guerre de trente ans - et à Richelieu, et la Renaissance, avec l'édifice de 1533, un exemple d'harmonie avec son grand balcon qui rappelle les châteaux de la Loire. Le XVIIIème siècle est aussi présent avec de beaux vases Rocaille ornant l'avant cour.
Des sires de Fléville au XIVème et XVème siècles, il passa aux Lutzelbourg au XVIIème. Il brilla d'un grand éclat au XVIIIème siècle. A l'intérieur, les boiseries Renaissance, la Chapelle, la salle des Etats de Lorraine, la chambre Ducale et des pièces intimes donnent un air de vie à cette demeure.
Un grand parc romantique dessiné par Choulot et un jardin de fleurs complètent un parcours empreint de charme et de beauté.
Depuis sa construction, le château n'a cessé d'être meublé et habité. La famille de Lambel en est actuellement propriétaire et y réside depuis 1812. Aujourd'hui encore, les descendants ont à coeur de faire vivre cet héritage.
Cette année, les documents anciens et la collection "Patrimoine" de Tassinari et Chatel
Dans cet esprit, le Comte et la Comtesse de Lambel, en véritables passionnés, ouvrent les portes de leur demeure et proposent au public de découvrir leur patrimoine familial. En plus des visites, ils organisent chaque année des expositions prestigieuses. Cette année, les documents anciens et la collection "Patrimoine" de Tassinari et Chatel sont présentés au château pour la période estivale.
Grands amateurs de belles étoffes et de restauration, les propriétaires des lieux accueillent les soieries Tassinari & Chatel dans ce cadre chargé d'histoire. Fragiles, ces documents ne supportent que peu de lumière et doivent être maintenus dans des conditions particulières.
Meublé et habité du Moyen-Age à nos jours<
Vieux de sept siècles, ce château décline le Moyen-Age, avec un donjon de 1320 qui a résisté à la guerre de trente ans - et à Richelieu, et la Renaissance, avec l'édifice de 1533, un exemple d'harmonie avec son grand balcon qui rappelle les châteaux de la Loire. Le XVIIIème siècle est aussi présent avec de beaux vases Rocaille ornant l'avant cour.
Des sires de Fléville au XIVème et XVème siècles, il passa aux Lutzelbourg au XVIIème. Il brilla d'un grand éclat au XVIIIème siècle. A l'intérieur, les boiseries Renaissance, la Chapelle, la salle des Etats de Lorraine, la chambre Ducale et des pièces intimes donnent un air de vie à cette demeure.
Un grand parc romantique dessiné par Choulot et un jardin de fleurs complètent un parcours empreint de charme et de beauté.
Depuis sa construction, le château n'a cessé d'être meublé et habité. La famille de Lambel en est actuellement propriétaire et y réside depuis 1812. Aujourd'hui encore, les descendants ont à coeur de faire vivre cet héritage.
Cette année, les documents anciens et la collection "Patrimoine" de Tassinari et Chatel
Dans cet esprit, le Comte et la Comtesse de Lambel, en véritables passionnés, ouvrent les portes de leur demeure et proposent au public de découvrir leur patrimoine familial. En plus des visites, ils organisent chaque année des expositions prestigieuses. Cette année, les documents anciens et la collection "Patrimoine" de Tassinari et Chatel sont présentés au château pour la période estivale.
Grands amateurs de belles étoffes et de restauration, les propriétaires des lieux accueillent les soieries Tassinari & Chatel dans ce cadre chargé d'histoire. Fragiles, ces documents ne supportent que peu de lumière et doivent être maintenus dans des conditions particulières.
Juillet 2004
Par Yves CALMEJANE