Le nouveau concept du luxe anti bling-bling
Il faut bien le reconnaître, d’ordinaire, le yacht est assimilé à un symbole emblématique du luxe, « tendance bling-bling ». Kereon, qui emprunte son nom au fameux phare breton, veut nous prouver le contraire. Une réussite ?
Un yacht culturel sinon rien
L’idée qui a présidé à sa création est celle d’un bateau ouvert sur le monde, dans lequel des esprits brillants et originaux installeraient leur goût et se comporteraient comme des invités permanents, qui auraient amené de quoi se nourrir et se distraire. On convie ainsi des personnalités telles qu’artistes, écrivains, musiciens, qui président aux choix musicaux, littéraires… des œuvres mises à disposition en ce haut-lieu de la culture.
Ecologie avant tout
Remplir un yacht de culture est une chose, mais le fait que ce yacht soit technologiquement orienté vers le sentiment écologique et la diminution de “l’effet carbone” se veut un argument de vente supplémentaire. En ce lieu eco-friendly et cosy, la pièce principale peut servir pour dîner ou se métamorphoser en quelques minutes en salle de projection ou en discothèque. Reste une interrogation : un public cultivé peut-il considérer comme le summum de la culture anti bling-bling une bibliothèque ou des œuvres d’art choisies par FrédéricBeigbeder, Lio ou Gad Elmaleh ? Chacun se fera son opinion selon l’image qu’il se fait de la « culture »…et du «bling-bling».
L’idée qui a présidé à sa création est celle d’un bateau ouvert sur le monde, dans lequel des esprits brillants et originaux installeraient leur goût et se comporteraient comme des invités permanents, qui auraient amené de quoi se nourrir et se distraire. On convie ainsi des personnalités telles qu’artistes, écrivains, musiciens, qui président aux choix musicaux, littéraires… des œuvres mises à disposition en ce haut-lieu de la culture.
Ecologie avant tout
Remplir un yacht de culture est une chose, mais le fait que ce yacht soit technologiquement orienté vers le sentiment écologique et la diminution de “l’effet carbone” se veut un argument de vente supplémentaire. En ce lieu eco-friendly et cosy, la pièce principale peut servir pour dîner ou se métamorphoser en quelques minutes en salle de projection ou en discothèque. Reste une interrogation : un public cultivé peut-il considérer comme le summum de la culture anti bling-bling une bibliothèque ou des œuvres d’art choisies par FrédéricBeigbeder, Lio ou Gad Elmaleh ? Chacun se fera son opinion selon l’image qu’il se fait de la « culture »…et du «bling-bling».
Mai 2010