Le luxe selon Bernard Magrez
Un autodidacte, qui n'a peur de rien. Après une jeunesse difficile, Bernard Magrez, négociant en vins millésimés - il est notamment le propriétaire du fameux Château Pape Clément - ne doit sa réussite qu'à lui-même. Avec 35 vignobles à son actif à ce jour, cet homme passionné, exigeant et intransigeant, n'a qu'un seul leitmotiv : « être parmi les meilleurs » ! Une ambition dévorante, alimentée par la lecture de biographies d'hommes célèbres qui seront son moteur. Actuellement, il collectionne les médailles et les notes sur ses vins frôlent le 100 ou les 5 étoiles chez tous les dégustateurs. Conseillé par Michel Rolland, un œnologue parfois contesté pour ses méthodes, il accumule les millésimes : Château La Tour Carnet (grand cru classé du Médoc), Fombrauge (brillant Saint Emilion), Château les Grands Chênes, (cru bourgeois)... Focus sur ce célèbre propriétaire en trois questions sur le luxe !
Donnez-moi votre définition du luxe ?
J'aime vivre seul, car je suis un homme indépendant.
Mon luxe : partir en solitaire le dimanche, sac à dos avec ma bouteille d'eau.
A Val d'Isère où j'ai un point de chute, j'aime faire de grandes balades avec un guide, car j'ai le sens de l'effort.
Quel est votre comble du luxe ?
J'ai la chance d'avoir un avion Falcon qui me sert à travailler et à me déplacer rapidement avec mes collaborateurs. Si je me retrouve seul à bord, mon plus grand plaisir consiste à déguster un très bon vin. Etre dans l'espace me procure une forme de jouissance, une créativité qui me donne des idées.
Et le luxe dont vous ne sauriez vous passer ?
Faire ce que je veux pour me détendre. C'est également être seul et de me dépenser dans une activité physique.
J'aime vivre seul, car je suis un homme indépendant.
Mon luxe : partir en solitaire le dimanche, sac à dos avec ma bouteille d'eau.
A Val d'Isère où j'ai un point de chute, j'aime faire de grandes balades avec un guide, car j'ai le sens de l'effort.
Quel est votre comble du luxe ?
J'ai la chance d'avoir un avion Falcon qui me sert à travailler et à me déplacer rapidement avec mes collaborateurs. Si je me retrouve seul à bord, mon plus grand plaisir consiste à déguster un très bon vin. Etre dans l'espace me procure une forme de jouissance, une créativité qui me donne des idées.
Et le luxe dont vous ne sauriez vous passer ?
Faire ce que je veux pour me détendre. C'est également être seul et de me dépenser dans une activité physique.
Février 2009
Par Katya PELLEGRINO
