Evasion


Dinarobin : A deux pas du Paradis...

Déjà 10 ans que les Suites du Dinarobin, joyau mauricien du groupe Beachcomber, jouxtent l'Hôtel Le Paradis, le bien nommé. Des années après son inauguration sur l'un des sites les plus spectaculaires de l’Ile, au pied  de la Montagne du Morne, le Dinarobin continue à faire rêver des générations d'amoureux et de familles avides de quiétude. Visite.
Suites Only 

Certes le concept a depuis fait des émules et l'on ne compte plus les établissements ayant d'emblée opté pour des standards très haut de gamme, entendez s'affranchissant du standard basique de la Chambre pour ne proposer qu'une succession de Suites, et pourtant le Dinarobin fait partie des pionniers en la matière. Bilan : entre le miroitement de l’Océan Indien, la nature verdoyante abritant le parcours de golf, et, en fond d’écran, sur les hauteurs, les terres des Sept Couleurs, l'hôtel décline des suites d’une honorable superficie. Installées dans d’élégants bungalows d'un étage, celles-ci ont su clairement s’intégrer d'emblée dans l'environnement grâce à des couleurs et des formes qui s'harmonisent avec le cadre unique de la péninsule du Morne. Avec leur véranda extérieure pour profiter de la douceur des soirées mauriciennes, les suites du Dinarobin évoquent les demeures traditionnelles de l'île, un service aux petits oignons en sus.

Spa by Clarins

Parce que, après une partie de pêche au gros, trois tours du lagon en ski nautique ou un 18 trous endiablé, on a comme une envie irrépréssible de se détendre, le Spa by Clarins s'est installé là, sous un toit de chaume et au cœur d’un bosquet d’araucarias parfumés. Massages classiques (sportif, drainage lymphatique) ou orientaux (Shanti-ayurvédique, Phatar, Shiatsu, réflexologie), balnéothérapie, algothérapie, hammams, saunas, il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. Un fois détendu et soulagé des éventuelles tensions, on quitte ce havre pour savourer la cuisine locale, française ou italienne dans l'un des 8 restaurants étalant leur confort, de la grillade, les pieds dans l'eau au restaurant gastronomique à se damner, mu par une seule envie : ne plus jamais rentrer.
Janvier 2012
Par Katya PELLEGRINO