L'homme Versace pour le printemps 2006/2007
Le noir a toujours été la couleur prisée par les couturiers, couleur intemporelle et chic par excellence. Cette année, Versace a eu l'idée de la décliner en bleu dans ses collections Automne-Hiver 2006-2007. Un bleu intense, un bleu nuit, un bleu noir, couleur de la sobriété et de la communication. Denzel Washington et Tim Robbins, deux célèbres acteurs américains, présentateurs d'un soir pour la 63ème édition de la cérémonie de remise des Golden Globes de l'Association de Presse Etrangère de Hollywwod, ont eux-mêmes craqué pour la collection Printemps 2006 de Versace. Denzel Washington ne s'est pas trompé en choisissant un smoking bleu foncé à deux boutons et Tim Robbins a opté, pour l'élégance intemporelle du smoking noir.
Le bleu domine
Cette couleur domine la collection Versace Homme pour l'Automne Hiver 2006-2007, en déclinant une idée héroïque de la beauté masculine. Du bleu cobalt au bleu ciel, de l'encre à l'améthyste dans ses tonalités sophistiquées de bordeau ; le bleu, la couleur du troisième millénaire, rythme les coupes et les proportions du sur-mesure.
Silhouette sexy : pantalons étroits, épaules carrées
Les pantalons semblent plus étroits grâce à la forme des vestes aux épaules carrées, angulaires, bien dessinées et soutenues sans besoin d'épaulettes. Cette nouvelle coupe propose une ligne en Y pour l'homme Versace, qui s'approprie à nouveau son ADN. Sexy, avec du charisme, très sûr de lui et beau comme une star internationale, ce modèle masculin lancé par la Maison dans les années 80 réapparaît, et trouve dans le symbole de la Méduse les vraies raisons de son nouveau succès.
Un retour vers les années 80
Ainsi les vestes et les manteaux s'ajustent au corps, ils exaltent les formes sans les marquer, allongent la silhouette et ne laissent rien au hasard. La coupe en diagonale plus sportive des pantalons, donne un effet de tube et de rigidité, mais une souplesse dans les matières. Des lignes apparemment très simples sont en réalité déterminées par l'anatomie idéalisée d'une divinité moderne, auxquelles s'oppose la richesse de détails du duo magique composé par les mailles et les chemises.
Jeux de surpiqûres et d'applications
Les cols et les boutonnières sont renforcés avec du cuir ; les empiècements sont matelassés et souples comme sur les blousons biker ; il y a des jeux de sur-piqûres et d'applications, en astrakan par exemple ; ceci rend tout opulent et dynamique en même temps. En ce qui concerne les détails : de nouveaux imprimés d'un jardin d'hiver peuplé de fleurs transgéniques dans une palette de couleurs riches. L'usage du dégradé est fondamental (même sur les verres des lunettes) et le choix des matières lourdes mais pas rustique, structurées, jamais simple, toujours symboles du luxe. Les mêmes tissus de différentes qualités pour les costumes et les manteaux complètent une collection crée pour renouveler les canons du style classique.
Cette couleur domine la collection Versace Homme pour l'Automne Hiver 2006-2007, en déclinant une idée héroïque de la beauté masculine. Du bleu cobalt au bleu ciel, de l'encre à l'améthyste dans ses tonalités sophistiquées de bordeau ; le bleu, la couleur du troisième millénaire, rythme les coupes et les proportions du sur-mesure.
Silhouette sexy : pantalons étroits, épaules carrées
Les pantalons semblent plus étroits grâce à la forme des vestes aux épaules carrées, angulaires, bien dessinées et soutenues sans besoin d'épaulettes. Cette nouvelle coupe propose une ligne en Y pour l'homme Versace, qui s'approprie à nouveau son ADN. Sexy, avec du charisme, très sûr de lui et beau comme une star internationale, ce modèle masculin lancé par la Maison dans les années 80 réapparaît, et trouve dans le symbole de la Méduse les vraies raisons de son nouveau succès.
Un retour vers les années 80
Ainsi les vestes et les manteaux s'ajustent au corps, ils exaltent les formes sans les marquer, allongent la silhouette et ne laissent rien au hasard. La coupe en diagonale plus sportive des pantalons, donne un effet de tube et de rigidité, mais une souplesse dans les matières. Des lignes apparemment très simples sont en réalité déterminées par l'anatomie idéalisée d'une divinité moderne, auxquelles s'oppose la richesse de détails du duo magique composé par les mailles et les chemises.
Jeux de surpiqûres et d'applications
Les cols et les boutonnières sont renforcés avec du cuir ; les empiècements sont matelassés et souples comme sur les blousons biker ; il y a des jeux de sur-piqûres et d'applications, en astrakan par exemple ; ceci rend tout opulent et dynamique en même temps. En ce qui concerne les détails : de nouveaux imprimés d'un jardin d'hiver peuplé de fleurs transgéniques dans une palette de couleurs riches. L'usage du dégradé est fondamental (même sur les verres des lunettes) et le choix des matières lourdes mais pas rustique, structurées, jamais simple, toujours symboles du luxe. Les mêmes tissus de différentes qualités pour les costumes et les manteaux complètent une collection crée pour renouveler les canons du style classique.
Janvier 2006
Par Katya PELLEGRINO
