Serge Amoruso, l'amoureux des peaux
S'il est des noms qui prédestinent leur détenteur, Amoruso est à coup sûr de ceux-là. Difficile en effet d'afficher si ostensiblement les termes même de la passion sans se laisser gouverner par une ardeur dévorante dans la moindre de ses entreprises ou développer une prédisposition à l'émotion voire à l'hédonisme. Matériaux, formes et couleurs, tout semble inspirer le maroquinier designer. De la patte d'Autruche à la pierre de météorite, la création est sans limite. Trottinette gainée d'alligator ou porte-baguette en vachette, proposez vos rêves les plus fous, ce malin génie les a déjà réalisés...!
Un luxe de la rareté
A tous ceux qui pensaient le luxe réservé aux "grandes marques", Serge Amoruso apporte un démenti de taille. A lui seul, ce maroquinier, créateur d'objets rares, a réussi à édifier une griffe que s'arrachent désormais les personnalités les plus diverses. De François Pinault au sultan de Brunei, d'Olivier Dassault à Jean-François Stévenin, chacun y va désormais de ses ceintures en cuir d'éléphant, classeurs personnalisés et autre étui à cigares en peau de castor. Point de commande à la chaîne et de livraison en 24 heures chrono, le luxe, ici, rime avec rareté. Discuter, rencontrer, personnaliser, chaque création est une variante insolite voire improbable d'un objet plus classique. Peau de requin galuchat, dent d'hippopotame, queue de castor, patte d'émeu etc. rien n'est trop beau pour travailler bracelets-montres, stylos-parfums, porte-baguette de pain ou étuis à tablettes de chocolat. L'utilité s'imposera ensuite d'elle-même...
"30 ans de métier en quelques années"
On aimerait tous pouvoir en dire autant ! Son CAP de sellerie en poche, c'est après 8 années passées chez Hermès, où les «vieux messieurs de l'atelier malle» ont peaufiné son éducation et son savoir-faire, que Serge Amoruso décide d'ouvrir sa première boutique. Homme d'art, de l'invention et du marketing, ce passionné d'aïkido, de voyages au Japon et de guitare rock et blues, travaille en toute transparence derrière sa vitrine, sous le regard fasciné des passants. On ne pouvait imaginer stratégie plus efficace pour inviter le badaud à pousser la porte de sa boutique et puis... il est trop tard ! Voir, toucher, écouter, trop de sens sont dorénavant sollicités pour pouvoir imaginer rebrousser chemin. On se laisse alors à rêver à quelque portefeuille en alligator ou fibre de carbone. Pas de souci, Serge Amoruso s'occupe du reste...!
A tous ceux qui pensaient le luxe réservé aux "grandes marques", Serge Amoruso apporte un démenti de taille. A lui seul, ce maroquinier, créateur d'objets rares, a réussi à édifier une griffe que s'arrachent désormais les personnalités les plus diverses. De François Pinault au sultan de Brunei, d'Olivier Dassault à Jean-François Stévenin, chacun y va désormais de ses ceintures en cuir d'éléphant, classeurs personnalisés et autre étui à cigares en peau de castor. Point de commande à la chaîne et de livraison en 24 heures chrono, le luxe, ici, rime avec rareté. Discuter, rencontrer, personnaliser, chaque création est une variante insolite voire improbable d'un objet plus classique. Peau de requin galuchat, dent d'hippopotame, queue de castor, patte d'émeu etc. rien n'est trop beau pour travailler bracelets-montres, stylos-parfums, porte-baguette de pain ou étuis à tablettes de chocolat. L'utilité s'imposera ensuite d'elle-même...
"30 ans de métier en quelques années"
On aimerait tous pouvoir en dire autant ! Son CAP de sellerie en poche, c'est après 8 années passées chez Hermès, où les «vieux messieurs de l'atelier malle» ont peaufiné son éducation et son savoir-faire, que Serge Amoruso décide d'ouvrir sa première boutique. Homme d'art, de l'invention et du marketing, ce passionné d'aïkido, de voyages au Japon et de guitare rock et blues, travaille en toute transparence derrière sa vitrine, sous le regard fasciné des passants. On ne pouvait imaginer stratégie plus efficace pour inviter le badaud à pousser la porte de sa boutique et puis... il est trop tard ! Voir, toucher, écouter, trop de sens sont dorénavant sollicités pour pouvoir imaginer rebrousser chemin. On se laisse alors à rêver à quelque portefeuille en alligator ou fibre de carbone. Pas de souci, Serge Amoruso s'occupe du reste...!
Septembre 2006
