Le Duke's à Londres, une adresse secrète, mais so british !
Pour votre week-end à Londres en amoureux, vous aimeriez bien une adresse secrète dans le quartier huppé de Londres, pour séjourner en toute quiétude et en toute intimité, mais sans les effets de manche des palaces, Luxe-magazine vous a déniché un hôtel discret et confidentiel, Le Duke's à Mayfair. Totalement british, cet établissement au service remarquable est tenu par un homme élégant, Michael Voigt, à l'image de son hôtel.
Un lieu intime et préservé
Mayfair se situe dans les quartiers les plus huppés de Londres, à un jet de pierre du Ritz, d' Old Bond Street et de Green Park. Il flotte dans ces lieux un parfum d'aristocratie, le raffinement domine, l'allure est une règle, un sacerdoce.
Au cœur de ce labyrinthe de l'élégance, le Duke's trouve naturellement sa place.
L'hôtel présente l'avantage d'être resté un lieu intime, sans tape-à-l'œil inutile et de s'inscrire dans la tradition.. Blotti au fond d'une impasse, il n'est connu que des privilégiés ou des habitués.
Un des charmes de l'hôtel réside dans cette multitude de petits salons, d'enfilades de pièces, qui recèlent chacune leur style. Une atmosphère fin de siècle défie les rides du quotidien en distillant au gré des heures une douce nostalgie
Coins et recoins pour envies différentes
Dès 18 h le bar, lieu prisé des anglais, est connu pour concocter les meilleurs martinis de la capitale et le barman n'en est pas peu fier ! Dans une symphonie de noir et blanc, un feu crépitant dans la cheminée (factice, mais indispensable) vous vous installez tranquillement pour siroter votre verre et, coutume britannique oblige, pour refaire le monde.
Par contre, le thé se verra offert dans un des salons dédiés à ce rituel. Et pourquoi pas l'incontournable Afternoon tea avec ses scones et sa marmelade ? Merveilleux petits salons, aux lumières tamisées, fenêtres à petit carreaux, canapés profonds et coussins moelleux. Finalement tout ce que l'on est venu chercher Outre Manche. Un autre chez soi à l'ambiance surannée, mais si charmante. Coins et recoins permettent aux amoureux de s'isoler, de lire ou de s'échanger les dernières confidences. Ici le temps s'écoule sans heurt, au rythme de la journée.
Un personnel attentif et stylé, mais non obséquieux, répond présent à toutes vos demandes, sans attente et toujours avec un sourire. On aime !
Une décoration de facture contemporaine à la touche british !
Le soir, si l'envie de sortir s'essouffle, il fera bon de descendre au restaurant. De facture contemporaine, la petite salle s'enorgueillit de belles fenêtres et d'une carte menu très agréable. Fauteuils crapaud et tables distantes les unes des autres, offrent une fois de plus une intimité appréciable.
Les chambres, depuis leur restauration il ya un an, présentent désormais, un style plus contemporain, mais avec cette touche britannique tout aussi inimitable, qui fait que l'on se sent à Londres et nulle part ailleurs. Matériaux naturels, mobilier classique et teints crème ou pastel maintiennent l'atmosphère qui fait le succès de ce lieu.
Une envie de sport. Qu'à cela ne tienne, une salle de gymnastique, petite mais bien équipée est également à votre disposition, surveillée par un personnel rigoureux et toujours stylé.
Finalement, le Duke's devient un autre chez soi, un home dont on a rêvé et qui l'espace d'un week-end, devient accessible !
Mayfair se situe dans les quartiers les plus huppés de Londres, à un jet de pierre du Ritz, d' Old Bond Street et de Green Park. Il flotte dans ces lieux un parfum d'aristocratie, le raffinement domine, l'allure est une règle, un sacerdoce.
Au cœur de ce labyrinthe de l'élégance, le Duke's trouve naturellement sa place.
L'hôtel présente l'avantage d'être resté un lieu intime, sans tape-à-l'œil inutile et de s'inscrire dans la tradition.. Blotti au fond d'une impasse, il n'est connu que des privilégiés ou des habitués.
Un des charmes de l'hôtel réside dans cette multitude de petits salons, d'enfilades de pièces, qui recèlent chacune leur style. Une atmosphère fin de siècle défie les rides du quotidien en distillant au gré des heures une douce nostalgie
Coins et recoins pour envies différentes
Dès 18 h le bar, lieu prisé des anglais, est connu pour concocter les meilleurs martinis de la capitale et le barman n'en est pas peu fier ! Dans une symphonie de noir et blanc, un feu crépitant dans la cheminée (factice, mais indispensable) vous vous installez tranquillement pour siroter votre verre et, coutume britannique oblige, pour refaire le monde.
Par contre, le thé se verra offert dans un des salons dédiés à ce rituel. Et pourquoi pas l'incontournable Afternoon tea avec ses scones et sa marmelade ? Merveilleux petits salons, aux lumières tamisées, fenêtres à petit carreaux, canapés profonds et coussins moelleux. Finalement tout ce que l'on est venu chercher Outre Manche. Un autre chez soi à l'ambiance surannée, mais si charmante. Coins et recoins permettent aux amoureux de s'isoler, de lire ou de s'échanger les dernières confidences. Ici le temps s'écoule sans heurt, au rythme de la journée.
Un personnel attentif et stylé, mais non obséquieux, répond présent à toutes vos demandes, sans attente et toujours avec un sourire. On aime !
Une décoration de facture contemporaine à la touche british !
Le soir, si l'envie de sortir s'essouffle, il fera bon de descendre au restaurant. De facture contemporaine, la petite salle s'enorgueillit de belles fenêtres et d'une carte menu très agréable. Fauteuils crapaud et tables distantes les unes des autres, offrent une fois de plus une intimité appréciable.
Les chambres, depuis leur restauration il ya un an, présentent désormais, un style plus contemporain, mais avec cette touche britannique tout aussi inimitable, qui fait que l'on se sent à Londres et nulle part ailleurs. Matériaux naturels, mobilier classique et teints crème ou pastel maintiennent l'atmosphère qui fait le succès de ce lieu.
Une envie de sport. Qu'à cela ne tienne, une salle de gymnastique, petite mais bien équipée est également à votre disposition, surveillée par un personnel rigoureux et toujours stylé.
Finalement, le Duke's devient un autre chez soi, un home dont on a rêvé et qui l'espace d'un week-end, devient accessible !
Janvier 2008
Par Katya PELLEGRINO