Burma : Jamais sans ma tiare !
Vous pensiez qu'il vous faudrait attendre d'être élue Miss Univers pour oser arborer une tiare sur votre auguste tête ? Détrompez-vous ! Burma vulgarise le royal bijou et nous propose, pour la modique somme de 17 000 €, de jouer les reines d'un soir. Le diadème, un must-have ?
Le diadème est mort, vive le diadème !
On a certes fait plus discret dans l'histoire du bijou mais la tiare a ce je-ne-sais-quoi de romantique, magique et vintage propre à nous transporter, d'un coup d'un seul, dans un rêve de petite fille, peuplé de sorcières maléfiques, de dragons fulminants et de princesses endormies. Or aujourd'hui, les altesses sont bel et bien éveillées et c'est en pleine conscience qu'elles ceignent leur front majestueux d'un diadème pour une séance shopping rue du Faubourg Saint Honoré ou une soirée non costumée ; les plus timorées attendant peut-être le jour officiel de leurs fiançailles pour jouer les princesses du XXIe siècle.
"Une femme est toujours séduisante quand elle porte un bijou Burma"
Michelle Morgan ne s'y était pas trompée, en travaillant avec un savoir-faire semblable à celui du meilleur joaillier tout en privilégiant l'oxyde de Zirconium taillé, à s'y tromper, comme une pierre précieuse, Burma a inventé le strass de luxe. Une réplique parfaite des bijoux les plus exceptionnels, l'addition colossale en moins. Aujourd'hui les prix, à mesure que le joaillier de la rue de la Paix privilégie les modèles uniques, se sont certes envolés, mais que ne serions-nous prêts à investir pour ceindre une tiare spectaculaire, en argent et burmalites blanches, sur notre front...? Reste donc à proclamer haut et fort la démocratisation du diadème et à afficher vaillamment un port altier et une démarche de reine dans notre vie de tous les jours. La tiare dans le métro, c'est pour demain !
On a certes fait plus discret dans l'histoire du bijou mais la tiare a ce je-ne-sais-quoi de romantique, magique et vintage propre à nous transporter, d'un coup d'un seul, dans un rêve de petite fille, peuplé de sorcières maléfiques, de dragons fulminants et de princesses endormies. Or aujourd'hui, les altesses sont bel et bien éveillées et c'est en pleine conscience qu'elles ceignent leur front majestueux d'un diadème pour une séance shopping rue du Faubourg Saint Honoré ou une soirée non costumée ; les plus timorées attendant peut-être le jour officiel de leurs fiançailles pour jouer les princesses du XXIe siècle.
"Une femme est toujours séduisante quand elle porte un bijou Burma"
Michelle Morgan ne s'y était pas trompée, en travaillant avec un savoir-faire semblable à celui du meilleur joaillier tout en privilégiant l'oxyde de Zirconium taillé, à s'y tromper, comme une pierre précieuse, Burma a inventé le strass de luxe. Une réplique parfaite des bijoux les plus exceptionnels, l'addition colossale en moins. Aujourd'hui les prix, à mesure que le joaillier de la rue de la Paix privilégie les modèles uniques, se sont certes envolés, mais que ne serions-nous prêts à investir pour ceindre une tiare spectaculaire, en argent et burmalites blanches, sur notre front...? Reste donc à proclamer haut et fort la démocratisation du diadème et à afficher vaillamment un port altier et une démarche de reine dans notre vie de tous les jours. La tiare dans le métro, c'est pour demain !
Septembre 2008
