Sup de Luxe : Une 18e édition tendance...
Chloé, Boucheron, Lucien Barrière, Van Cleef & Arpels...: ils étaient tous là, le 2 juillet dernier au Cercle de l'Union Interalliée, pour assister à la remise des diplômes de la 18e promotion de l'Institut Supérieur de Marketing du Luxe. Au programme : la réunion des grands décideurs du Luxe d'aujourd'hui et de demain pour une édition placée sous le signe des tendances...
L'année de la majorité !
18 ans déjà que Sup de Luxe forme les spécialistes du luxe, s'imposant, pour la 4e année consécutive, comme la première formation au management du luxe. Une consécration. Cette année, sous le haut patronage de Pierre-Christian Taittinger (Président du Cercle de l'Union Interalliée), c'est peu dire que l'assistance était prestigieuse. On retrouvait côte à côte dans cette grand-messe annuelle du luxe, Philippe Augier (Maire de Deauville), Jean-Christophe Bedos (Boucheron), Eric Boonstoppel (Groupe Lucien Barrière), Jean-Emmanuel Bourguet (Chloée), François Delahaye (Dorchester Group) etc. Un plateau de haute-tenue donc et, ensemble, l'envie de porter les valeurs du luxe et de penser son avenir.
Luxe et tendances
Signe des temps, c'est un travail de recherche autour des tendances qui a été couronné (Corentine Laming) : "Une nouvelle technique pour capter les tendances". Major de sa promotion, elle a reçu des mains de Luxe-magazine.com, partenaire de Sup de Luxe, un week-end Relais & Châteaux à l'hôtel l'Heure Bleue, situé au Maroc à Essaouira.
Effectivement, mot d'ordre d'une entreprise soucieuse d'anticiper les désirs du client, la recherche des tendances est devenu partie prenante du discours du luxe. Elyette Roux ne manque d'ailleurs jamais de le rappeler : "Le luxe ce n'est pas la mode. Le luxe, ce n'est pas la tendance, c'est ce qui reste lorsque la tendance est passée. La marque de luxe ne doit pas suivre une tendance mais c'est à elle de créer la tendance". De fait, quand bien même le luxe tend à adopter les codes du "mass marketing", force lancements permanents, flagships surdimensionnés et publicité omniprésente à l'appui, il doit veiller à se situer en amont de la mode pour conserver sa légitimité et son unicité. Créer la tendance, capter la tendance... L'éternel pari de demain ?
18 ans déjà que Sup de Luxe forme les spécialistes du luxe, s'imposant, pour la 4e année consécutive, comme la première formation au management du luxe. Une consécration. Cette année, sous le haut patronage de Pierre-Christian Taittinger (Président du Cercle de l'Union Interalliée), c'est peu dire que l'assistance était prestigieuse. On retrouvait côte à côte dans cette grand-messe annuelle du luxe, Philippe Augier (Maire de Deauville), Jean-Christophe Bedos (Boucheron), Eric Boonstoppel (Groupe Lucien Barrière), Jean-Emmanuel Bourguet (Chloée), François Delahaye (Dorchester Group) etc. Un plateau de haute-tenue donc et, ensemble, l'envie de porter les valeurs du luxe et de penser son avenir.
Luxe et tendances
Signe des temps, c'est un travail de recherche autour des tendances qui a été couronné (Corentine Laming) : "Une nouvelle technique pour capter les tendances". Major de sa promotion, elle a reçu des mains de Luxe-magazine.com, partenaire de Sup de Luxe, un week-end Relais & Châteaux à l'hôtel l'Heure Bleue, situé au Maroc à Essaouira.
Effectivement, mot d'ordre d'une entreprise soucieuse d'anticiper les désirs du client, la recherche des tendances est devenu partie prenante du discours du luxe. Elyette Roux ne manque d'ailleurs jamais de le rappeler : "Le luxe ce n'est pas la mode. Le luxe, ce n'est pas la tendance, c'est ce qui reste lorsque la tendance est passée. La marque de luxe ne doit pas suivre une tendance mais c'est à elle de créer la tendance". De fait, quand bien même le luxe tend à adopter les codes du "mass marketing", force lancements permanents, flagships surdimensionnés et publicité omniprésente à l'appui, il doit veiller à se situer en amont de la mode pour conserver sa légitimité et son unicité. Créer la tendance, capter la tendance... L'éternel pari de demain ?
Juillet 2008
