Les dîners d'Eloïse libèrent la femme !
Exit les continuels allers-retours du salon à la cuisine pour surveiller la dorade qui rôtit tout en tentant vainement de prendre part à la conversation revigorante sur la crise des subprimes et la météo cyclothymique : désormais Les dîners d'Eloïse nous livrent toque en main un chef à domicile pour assurer l'intégralité du repas, de la cuisine à la vaisselle. Il n'y a plus qu'à profiter de la soirée.
"C'est pas moi qui l'ai fait !"
Dîner professionnel ou entre amis, anniversaire, mariage civil... il y a globalement mille et une raisons de ne point avoir envie de passer la moitié de sa soirée aux fourneaux tandis que, à côté, dans une allégresse vaguement teintée de culpabilité, les convives festoient, échangeant anecdotes croustillantes et congratulations mutuelles sur leurs progénitures respectives. Certes, quelques bonnes âmes tentent de nous expliquer lors de nos brefs passages, entre deux hoquets de fou-rire, les raisons de l'hilarité générale, mais c'est l'esprit embrumé par le temps de cuisson du lapin confit que nous retournons en quarantaine dans la cuisine, jurant, mais pas trop tard, qu'on ne nous y prendra plus ! Car, c'est une certitude, à la prochaine réunion familiale, ce sont les deux chefs des diners d'Eloïse, Maud Argaïbi ou Joyce Levi, qui prendront en charge de A à Z le repas ; notre charge de travail étant circonscrite au seul choix du menu. Vive le Croustillant de girolles et ris de veau longuement mijoté et déglacé au Porto qui s'auto-génère, vive la liberté !
Le retour des "dîners en ville"
Bien plus intime et convivial que le restaurant impersonnel, avec Les dîners d'Eloïse, notre salon cosy se transforme, le temps d'une soirée, en temple . Foie gras poëlé Pêches blanches et amandes fraîches en confiture sucrée-salée, Lotte en habit vert, ambre de shiitaké, Fines ravioles chinoises, émulsion gingembre citronnelle et Macaron à la rose Fraise des bois, espuma de myrtilles, glace à la confiture de lait, s'enchaînent sans heurt, accompagnés de vins appropriés. Heureux d'avoir fait les bons choix entre les menus Saveurs du marché ou Eveil des sens pour satisfaire pour satisfairechacun des convives, nous savourons donc pleinement la soirée, certains de n'avoir pas à nous livrer à de quelconques travaux ménagers après le départ de nos hôtes. Merci Eloïse !
Dîner professionnel ou entre amis, anniversaire, mariage civil... il y a globalement mille et une raisons de ne point avoir envie de passer la moitié de sa soirée aux fourneaux tandis que, à côté, dans une allégresse vaguement teintée de culpabilité, les convives festoient, échangeant anecdotes croustillantes et congratulations mutuelles sur leurs progénitures respectives. Certes, quelques bonnes âmes tentent de nous expliquer lors de nos brefs passages, entre deux hoquets de fou-rire, les raisons de l'hilarité générale, mais c'est l'esprit embrumé par le temps de cuisson du lapin confit que nous retournons en quarantaine dans la cuisine, jurant, mais pas trop tard, qu'on ne nous y prendra plus ! Car, c'est une certitude, à la prochaine réunion familiale, ce sont les deux chefs des diners d'Eloïse, Maud Argaïbi ou Joyce Levi, qui prendront en charge de A à Z le repas ; notre charge de travail étant circonscrite au seul choix du menu. Vive le Croustillant de girolles et ris de veau longuement mijoté et déglacé au Porto qui s'auto-génère, vive la liberté !
Le retour des "dîners en ville"
Bien plus intime et convivial que le restaurant impersonnel, avec Les dîners d'Eloïse, notre salon cosy se transforme, le temps d'une soirée, en temple . Foie gras poëlé Pêches blanches et amandes fraîches en confiture sucrée-salée, Lotte en habit vert, ambre de shiitaké, Fines ravioles chinoises, émulsion gingembre citronnelle et Macaron à la rose Fraise des bois, espuma de myrtilles, glace à la confiture de lait, s'enchaînent sans heurt, accompagnés de vins appropriés. Heureux d'avoir fait les bons choix entre les menus Saveurs du marché ou Eveil des sens pour satisfaire pour satisfairechacun des convives, nous savourons donc pleinement la soirée, certains de n'avoir pas à nous livrer à de quelconques travaux ménagers après le départ de nos hôtes. Merci Eloïse !
Février 2009