Quand Guy Martin oublie sa toque...
Non, Guy Martin ne vit pas nuit et jour avec sa toque, bien au contraire... Après ses 50 recettes in-ratables à l'usage des blondes, le chef du Grand Vefour revient avec 50 recettes à improviser le soir auprès du feu. Pas de repas élaboré donc, mais un joyeux recueil pour nourrir tous les instants de la vie, sans contrainte. Entre pain perdu et rillettes de thon, réhabilitons la bonne franquette !
Vive la spontanéité !
Quand il ne jongle pas avec ses étoiles, Guy Martin continue son entreprise de démystification de la grande cuisine. Point d'ingrédients surréalistes ni de matériel high-tech, avec "A la carte !", les repas s'inventent au retour de la promenade, se conçoivent avec les convives autour du canapé et s'improvisent en déjouant l'ordinaire des placards. Bref, un retour vivifiant à la spontanéité culinaire et aux invitations imprévues, légères et chaleureuses. "En deux temps, trois mouvements", "Le thon, c'est bon", "L'auberge espagnole", "Pain perdu pas pour tous"... : les neuf chapitres nous déculpabilisent d'emblée avec l'absence de prévision et d'invitation officielle, pour nous réconcilier avec la gourmandise. Haut les fourchettes à fondue et sus au reblochon, Guy Martin réinvente l'improvisation gastronomique. Pourvu que ça dure !
Quand il ne jongle pas avec ses étoiles, Guy Martin continue son entreprise de démystification de la grande cuisine. Point d'ingrédients surréalistes ni de matériel high-tech, avec "A la carte !", les repas s'inventent au retour de la promenade, se conçoivent avec les convives autour du canapé et s'improvisent en déjouant l'ordinaire des placards. Bref, un retour vivifiant à la spontanéité culinaire et aux invitations imprévues, légères et chaleureuses. "En deux temps, trois mouvements", "Le thon, c'est bon", "L'auberge espagnole", "Pain perdu pas pour tous"... : les neuf chapitres nous déculpabilisent d'emblée avec l'absence de prévision et d'invitation officielle, pour nous réconcilier avec la gourmandise. Haut les fourchettes à fondue et sus au reblochon, Guy Martin réinvente l'improvisation gastronomique. Pourvu que ça dure !
Janvier 2009
