La robe noire, une éternelle sucess story
Elle a traversé toutes les modes, toutes les époques, plusieurs fois elle fut donnée pour agonisante, mais tel un phénix, elle renaît toujours de ses cendres. Une pièce maîtresse, qui a su s’adapter à tous les contextes sociaux, et qui appartient aujourd’hui au Patrimoine français.
Une parure sensuelle et équivoque
C’est Coco Chanel qui, en 1926, réhabilita le noir pour en faire un symbole d’élégance en créant la première ,un simple fourreau de crêpe, renversant de simplicité. Mais malheur, la couleur était noire, couleur du deuil et de la misère, prisée des femmes de petite vertu ou des domestiques. Coco Chanel n’en a cure et imposera déjà sa vision avant-gardiste.
Christian Dior suivra à l’heure du new look la réhabilitant sous la coupe d’une robe en crêpe noir, sanglé à la taille et évasée en une multitutde de plis à partir de la taille sanglée.
Aujourd’hui, la « petite » robe noire est l’honneur sur tous les podiums, redevenant sous les mains des créateurs, moderne, minimale et surtout sexy !
En un mot une parure sensuelle et équivoque !
Tout sauf bourgeoise
Ainsi Balenciaga, sous l’impulsion de son directeur artistique, Nicolas Ghesquière, la transcende : une rigueur graphique dans une coupe d’une modernité sans faille, un soupçon de drame et surtout une apothéose d’aura sexy avec ses robes fendues, ses jeux d’épaules dénudées. Elle se joue de toutes les matières, avec de gros grains futuristes chez Miu Miu ou en taffetas de soie lamé chez Lanvin.
En un mot, elle est tout sauf bourgeoise et sous ses airs sages, elle cache un érotisme torride, mais subtil que les femmes recherchent et que les hommes apprécient.
Finalement un jeu de la séduction apprécié à tout âge, une féminité en diable qui n’est pas près de disparaître
C’est Coco Chanel qui, en 1926, réhabilita le noir pour en faire un symbole d’élégance en créant la première ,un simple fourreau de crêpe, renversant de simplicité. Mais malheur, la couleur était noire, couleur du deuil et de la misère, prisée des femmes de petite vertu ou des domestiques. Coco Chanel n’en a cure et imposera déjà sa vision avant-gardiste.
Christian Dior suivra à l’heure du new look la réhabilitant sous la coupe d’une robe en crêpe noir, sanglé à la taille et évasée en une multitutde de plis à partir de la taille sanglée.
Aujourd’hui, la « petite » robe noire est l’honneur sur tous les podiums, redevenant sous les mains des créateurs, moderne, minimale et surtout sexy !
En un mot une parure sensuelle et équivoque !
Tout sauf bourgeoise
Ainsi Balenciaga, sous l’impulsion de son directeur artistique, Nicolas Ghesquière, la transcende : une rigueur graphique dans une coupe d’une modernité sans faille, un soupçon de drame et surtout une apothéose d’aura sexy avec ses robes fendues, ses jeux d’épaules dénudées. Elle se joue de toutes les matières, avec de gros grains futuristes chez Miu Miu ou en taffetas de soie lamé chez Lanvin.
En un mot, elle est tout sauf bourgeoise et sous ses airs sages, elle cache un érotisme torride, mais subtil que les femmes recherchent et que les hommes apprécient.
Finalement un jeu de la séduction apprécié à tout âge, une féminité en diable qui n’est pas près de disparaître
Novembre 2008
Par Katya PELLEGRINO