Quand Oscarine envoûte l'Opéra Garnier...
Alors que l'envoûtante fresque orientale, La Bayadère s' arrête à l'Opéra Garnier du 17 mai au 3 juin, la créatrice de costumes pour enfants, Oscarine, pose sa malle enchantée à La Galerie de l'Opéra de Paris, le concept-store de l'Opéra Garnier. L'occasion pour les enfants de découvrir ses trésors ramenés du Pays des Maharadjahs le temps d'une exposition contée. Prêts à enfourcher votre tapis-volant ?
Du costume d'enfant haute couture...
Voilà qui devrait réjouir tous les parents vaguement lassés des costumes de princesse en viscose et de pirate en papier mâché qui, s'ils amusent évidemment les charmantes petites têtes blondes et brunes, nous déconcertent quant à leur pauvreté esthétique et leur indigence culturelle. Fort heureusement, il existe des îlots de résistance, des passionnés de rêve et de couture pour qui la magie du conte doit côtoyer l'exigence de la belle ouvrage. Et Isabelle Segal, alias Oscarine, fait partie de ceux-là. Coupés dans la soie, la mousseline, le coton, le velours, le satin, ses costumes aux finitions haute-couture, sont dessinés et façonnés dans son atelier parisien. Perles, galons, rubans et plumes viennent évidemment en renfort pour que, sous la magie de l'habit, l'enfant devienne corsaire, indien, princesse ou fée, tout en laissant s'épanouir naturellement la richesse onirique de son univers intérieur, d'ailleurs souvent bien supérieure à nos maigres trouvailles esthétiques... L'habit une fois créé, la créatrice le souhaite durable, apte à se transmettre de génération en génération pour que le rêve perdure. Une autre approche du costume donc qui ne pouvait que séduire La Galerie de l'Opéra de Paris qui trouve là un moyen d'initier les enfants à l'imaginaire du Ballet La Bayadère actuellement à l'affiche de l'Opéra Garnier.
Ludique et culturel
Parce que La Bayadère nous entraine dans une Inde tour à tour sauvage et cruelle ; parce que cette fresque orientale d'une virtuosité étourdissante grouille de costumes enchanteurs, Oscarine pose donc sa malle à La Galerie de l'Opéra de Paris et embarque le jeune public vers une Inde de songe et de mystère à grand renfort d'expositions contées, d'accessoires, d'éléments de mise en scène et de costumes bien sûr. Une façon ludique de s'initier à l'art du ballet en découvrant des costumes directement inspirés de La Bayadère. La Princesse Joséphine, l'Impératrice, la Ballerine ou encore Pirate Jack nous ouvrent donc les portes du songe... Attention de ne pas rater l'embarquement !
Voilà qui devrait réjouir tous les parents vaguement lassés des costumes de princesse en viscose et de pirate en papier mâché qui, s'ils amusent évidemment les charmantes petites têtes blondes et brunes, nous déconcertent quant à leur pauvreté esthétique et leur indigence culturelle. Fort heureusement, il existe des îlots de résistance, des passionnés de rêve et de couture pour qui la magie du conte doit côtoyer l'exigence de la belle ouvrage. Et Isabelle Segal, alias Oscarine, fait partie de ceux-là. Coupés dans la soie, la mousseline, le coton, le velours, le satin, ses costumes aux finitions haute-couture, sont dessinés et façonnés dans son atelier parisien. Perles, galons, rubans et plumes viennent évidemment en renfort pour que, sous la magie de l'habit, l'enfant devienne corsaire, indien, princesse ou fée, tout en laissant s'épanouir naturellement la richesse onirique de son univers intérieur, d'ailleurs souvent bien supérieure à nos maigres trouvailles esthétiques... L'habit une fois créé, la créatrice le souhaite durable, apte à se transmettre de génération en génération pour que le rêve perdure. Une autre approche du costume donc qui ne pouvait que séduire La Galerie de l'Opéra de Paris qui trouve là un moyen d'initier les enfants à l'imaginaire du Ballet La Bayadère actuellement à l'affiche de l'Opéra Garnier.
Ludique et culturel
Parce que La Bayadère nous entraine dans une Inde tour à tour sauvage et cruelle ; parce que cette fresque orientale d'une virtuosité étourdissante grouille de costumes enchanteurs, Oscarine pose donc sa malle à La Galerie de l'Opéra de Paris et embarque le jeune public vers une Inde de songe et de mystère à grand renfort d'expositions contées, d'accessoires, d'éléments de mise en scène et de costumes bien sûr. Une façon ludique de s'initier à l'art du ballet en découvrant des costumes directement inspirés de La Bayadère. La Princesse Joséphine, l'Impératrice, la Ballerine ou encore Pirate Jack nous ouvrent donc les portes du songe... Attention de ne pas rater l'embarquement !
Mai 2010
Par Katya PELLEGRINO