Versailles met à l'honneur la Chine
Jusqu'au 26 octobre, le Château de Versailles se met à l'heure chinoise. A l'occasion du 50e anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la France et la Chine, le célèbre monument présente l'exposition La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIe siècle.
Convoitise pour l'art chinois
Garniture de trois vases "œuf" à décor chinois, Louis-François Lécot
L'exposition retrace, dans l'appartement de Madame de Maintenon, un siècle d'Histoire et d'échanges politiques et artistiques entre les deux pays. Les peintures, meubles, laques, porcelaines et tapisseries révèlent le faste de l'époque et la rareté des pièces aujourd'hui. La collection témoigne de l'attrait pour l'art chinois, à la mode, dès le règne de Louis XIV. Les "chinoiseries" sont convoitées par la cour française du XVIIe siècle et les grandes familles. Dès lors, de nombreuses oeuvres sont importées en France et les artistes copient les objets orientaux : éventails, soieries et porcelaines.
Cabaret chinois de Madame Adélaide ou de Madame Victoire, Louis-François Lécot
Même Marie-Antoinette admire l'art de l'Empire du Milieu et se passionne pour les porcelaines. Le Petit Trianon voit naître un jardin anglo-chinois, ainsi qu'un manège intitulé "Jeu de bague", paré de paons et de dragons dorés. Les 150 oeuvres exposées proviennent de plusieurs grandes institutions françaises (Louvre, Bibliothèque Nationale de France, Centre des Monuments nationaux ...), étrangères, et de collections particulières. Le Château de Versailles dévoile aux visiteurs une exposition riche et pleine de surprises.
Vue de jeu de bague chinois , Claude-Louis Châtelet
Garniture de trois vases "œuf" à décor chinois, Louis-François Lécot
L'exposition retrace, dans l'appartement de Madame de Maintenon, un siècle d'Histoire et d'échanges politiques et artistiques entre les deux pays. Les peintures, meubles, laques, porcelaines et tapisseries révèlent le faste de l'époque et la rareté des pièces aujourd'hui. La collection témoigne de l'attrait pour l'art chinois, à la mode, dès le règne de Louis XIV. Les "chinoiseries" sont convoitées par la cour française du XVIIe siècle et les grandes familles. Dès lors, de nombreuses oeuvres sont importées en France et les artistes copient les objets orientaux : éventails, soieries et porcelaines.
Cabaret chinois de Madame Adélaide ou de Madame Victoire, Louis-François Lécot
Même Marie-Antoinette admire l'art de l'Empire du Milieu et se passionne pour les porcelaines. Le Petit Trianon voit naître un jardin anglo-chinois, ainsi qu'un manège intitulé "Jeu de bague", paré de paons et de dragons dorés. Les 150 oeuvres exposées proviennent de plusieurs grandes institutions françaises (Louvre, Bibliothèque Nationale de France, Centre des Monuments nationaux ...), étrangères, et de collections particulières. Le Château de Versailles dévoile aux visiteurs une exposition riche et pleine de surprises.
Vue de jeu de bague chinois , Claude-Louis Châtelet
Juillet 2014
Par La rédaction
