The Setai à Miami
Des palmiers en bouquets le long d'Ocean Drive, un long ruban en poudre de coquillages et de sable blanc pour la plage et un air doux et léger comme de la guimauve. Nous sommes à South Beach Miami. Dans ce quartier, né des années trente, les hôtels affichaient des silhouettes géométriques, soulignées par force hublots et bastingages, évoquant quelque dépaysante croisière. Aujourd'hui, dans ce secteur toujours estampillé Art Déco, The Setai - l'ancien Dempsey Vanderbilt Hotel inauguré en 1938 - vient d'ouvrir ses portes, adossé à une tour en verre de 40 étages.
Avec panache, il défie ses concurrents, affichant un air résolument contemporain, grâce à ses lignes épurées et à une décoration très minimaliste, dues aux célèbres designers Jean Michel Gathy et Jaya Ibrahim . L'esprit Art Déco reste malgré tout présent dans le lobby, sublimé par un souffle asiatique (objets chinois, sculptures, peintures, bronzes venant de Shanghai).
Un bar à caviar, à champagne et à crustacés
Le jeu de lumières des chambres et des suites souligne l'allure sophistiquée et design du mobilier dessiné sur mesure, de la soie sauvage, du teck et des sols en granit noir.
L'originalité du lieu tient également à son bar à caviar, à champagne et à crustacés.
Quant à l'influence asiatique, elle se perçoit au spa : calme et sérénité dans une ambiance zen et feutrée, lieu idéal pour clientèle new-yorkaise stressée.
Un spa aux traditions de l'extrême-Orient
Pas moins de trois magnifiques piscines bleu azur, toutes plus profondes les unes que les autres, pour hôtes exigeants, permettent des plongeons réparateurs.
La philosophie du spa s'appuie sur une ancienne légende des dieux sanscrits, en quête d'un élixir naturel, apportant immortalité et jeunesse éternelle. Sans pour autant promettre l'immortalité ou la jeunesse éternelle, les soins proposés au Spa Setaï reflètent les traditions de l'Extrême-Orient dans leur application et leur rituel, grâce à l'expertise de thérapeutes balinais. Un Marma massage, s'inscrit parfaitement dans ce concept. Grâce à la stimulation des canaux énergétiques, favorisant le lien entre l'esprit et le corps, il contribue à procurer une détente fort appréciée. L'hôte se laisse alors dériver avec plaisir et bonheur, tout au long de ces lissages et pressions, pour un réveil tout en douceur.
Un soin aux pierres précieuses
On peut aussi se laisser tenter par un soin utilisant des pierres semi précieuses, tel le jade.
Les vertus curatives de ces pierres sont sublimées dans le soin du visage "Empress Jade Facial".
Technique ancienne pratiquée sur les empereurs chinois pour affiner le grain de peau, le soin commence par une application de poudre de perle, puis la peau est massée à l'aide d'une pierre de jade. Vrai plaisir sensoriel.
Le massage réflexologique est aussi un grand moment, différent de ceux pratiqués ailleurs.
Il permet de purifier et d'équilibrer les chakras, mot Sanscrit signifiant roue.
Il se réfère à chacun des sept centres d'énergie, dont sont composés notre conscience, notre système d'énergie et notre corps physique.
Du quartz rose, de l'améthyste, des turquoises, du quartz fumé, de la tourmaline ou de la citrine sont posés à l'emplacement des chakras, pendant le massage des points de réflexologie des pieds.
Une parenthèse de légèreté pour nos pieds si souvent maltraités.
A la tombée du jour, une balade, le long d'Ocean Drive, en compagnie du murmure silencieux de l'océan et des tentations nocturnes, nous plonge dans l'univers branché et enivrant d'un Miami Beach surprenant.
Un bar à caviar, à champagne et à crustacés
Le jeu de lumières des chambres et des suites souligne l'allure sophistiquée et design du mobilier dessiné sur mesure, de la soie sauvage, du teck et des sols en granit noir.
L'originalité du lieu tient également à son bar à caviar, à champagne et à crustacés.
Quant à l'influence asiatique, elle se perçoit au spa : calme et sérénité dans une ambiance zen et feutrée, lieu idéal pour clientèle new-yorkaise stressée.
Un spa aux traditions de l'extrême-Orient
Pas moins de trois magnifiques piscines bleu azur, toutes plus profondes les unes que les autres, pour hôtes exigeants, permettent des plongeons réparateurs.
La philosophie du spa s'appuie sur une ancienne légende des dieux sanscrits, en quête d'un élixir naturel, apportant immortalité et jeunesse éternelle. Sans pour autant promettre l'immortalité ou la jeunesse éternelle, les soins proposés au Spa Setaï reflètent les traditions de l'Extrême-Orient dans leur application et leur rituel, grâce à l'expertise de thérapeutes balinais. Un Marma massage, s'inscrit parfaitement dans ce concept. Grâce à la stimulation des canaux énergétiques, favorisant le lien entre l'esprit et le corps, il contribue à procurer une détente fort appréciée. L'hôte se laisse alors dériver avec plaisir et bonheur, tout au long de ces lissages et pressions, pour un réveil tout en douceur.
Un soin aux pierres précieuses
On peut aussi se laisser tenter par un soin utilisant des pierres semi précieuses, tel le jade.
Les vertus curatives de ces pierres sont sublimées dans le soin du visage "Empress Jade Facial".
Technique ancienne pratiquée sur les empereurs chinois pour affiner le grain de peau, le soin commence par une application de poudre de perle, puis la peau est massée à l'aide d'une pierre de jade. Vrai plaisir sensoriel.
Le massage réflexologique est aussi un grand moment, différent de ceux pratiqués ailleurs.
Il permet de purifier et d'équilibrer les chakras, mot Sanscrit signifiant roue.
Il se réfère à chacun des sept centres d'énergie, dont sont composés notre conscience, notre système d'énergie et notre corps physique.
Du quartz rose, de l'améthyste, des turquoises, du quartz fumé, de la tourmaline ou de la citrine sont posés à l'emplacement des chakras, pendant le massage des points de réflexologie des pieds.
Une parenthèse de légèreté pour nos pieds si souvent maltraités.
A la tombée du jour, une balade, le long d'Ocean Drive, en compagnie du murmure silencieux de l'océan et des tentations nocturnes, nous plonge dans l'univers branché et enivrant d'un Miami Beach surprenant.
Novembre 2012
Par Katya PELLEGRINO