La vie de Chalet à Megève
En conjuguant l’étonnant mariage entre simplicité et luxe, authenticité et avant-gardisme, Megève a réussi à s’inventer sa propre définition d’authentique village savoyard. Elle a su préserver son âme, malgré le chant des sirènes étrangères. Un esprit qui séduit une clientèle internationale appréciant aussi bien la simplicité que la démesure. Megève se pose donc en « Lady », maniant l’art gastronomique et hôtelier avec mastria. La Dolce Vita mègevanne en quelque sorte, s’appréciant aussi bien l’hiver que l’été. Dans cet univers montagnard, hôtels de luxe côtoient chalets d’exception à vendre ou à louer. Zoom sur l’un d’entre eux.
Des chalets dodus
Il faut prendre la route, qui serpente entre les villages, fait des méandres, s’enroule autour des champs, des forêts de conifères et d’épineux. Le visiteur découvre alors avec délice le panorama qui se déroule sous ses yeux, et surtout le majestueux Mont Blanc, dont la le sommet est souvent surmontée d’une calotte.
Niché à l’aplomb de Megève, au sein du domaine du Mont d’Arbois, quelques chalets dodus ont élu domicile au sein d’un hameau. Le Chalet Labrador en fait partie.
Les ingrédients indispensables de l’art de vivre à la montagne
Façades en pierre et bois, tavaillons façonnés main sur le toit, deux terrasses en dénivelée exposées au soleil levant, nous accueillent dans la lueur estivale. Dans ce grand chalet savoyard, on retrouve tous les ingrédients indispensables de l’art de vivre à la montagne. Une fière allure donnée par le bois, les pierres du pays ou de Bourgogne, la palette de couleurs sourdes sur laquelle la décoratrice, Isabelle Savariego-Gaultier a joué et les objets anciens chinés, distillés ici et là.
Matières douces et ambiance de chalet
L’entrée se fait côté cuisine. Elle affiche un beau tempérament signée William Sferlazzo. Bien aménagée, spacieuse, se déclinant dans les tonalités de gris, acier et bois, plan de travail en béton gris ciré, cuisinière La Cornue, elle donne sur une jolie salle à manger articulée en arc de cercle, façon « stuben » autrichien . Belle atmosphère le soir : sous un plafond en bois orné d’un très joli trompe l’œil, une grande table ronde, entourée de sa banquette, prend douillettement place. On y dîne avec plaisir le soir, lorsque les derniers rayons du soleil rougeoient dans le ciel.
Une terrasse ensoleillée pour des petits-déjeuners heureux !
Quelques marches plus bas, le grand salon s’étire en longueur sur un joli parquet en chêne ancien. Là les matières se font douces et veloutées en contrepoint de la roche et de la neige de l’hiver. Garni de canapés Beccara et de bergères surdimensionnés aux teintes chocolat, d‘une imposante cheminée, et s’abritant en partie sous une mezzanine ouverte, il se prolonge sur la terrasse côté soleil levant. Dommage ! On aurait aimé en fin de journée, profiter du soleil couchant face aux montagnes de Rochebrune. On se rattrape alors le matin en prenant le petit-déjeuner face aux Aiguilles Croche et à la Côte 2000. Un grand moment lorsque l’odeur de pain grillé s’exhale de la table en bois brut posée sur la terrasse. On profite alors du panorama exceptionnel où tout est si beau dans le matin calme. Le soleil frappe, illumine, s’installe. Une nouvelle journée commence !
Nuits câlines au premier étage
Au premier étage, une mezzanine surplombe le rez-de-chaussée, un salon se pavane dans des teintes couleur orangée, ouvrant sur un balcon dont la vue imprenable sur la montagne, comme un tableau d’artiste appelle le regard et provoque l’ouverture, le point de vue.
Il fait bon s’y blottir en fin d’après-midi pour recevoir les dernières caresses d’un soleil couchant tout en se plongeant dans un roman haletant.
Au même étage, deux chambres spacieuses (dont une pour enfants), sous une charpente en bois, séparées d’une salle de bain contemporaine, se disputent la primeur des hôtes. Etoffes chaudes et douces signées Frey, habillent les lits, parent les fenêtres à carreaux et des couettes moelleuses présagent déjà de nuits câlines et de rêves heureux.
Dans une niche, près de l’escalier, la chaleur du bois met en scène une œuvre d’art, une sculpture unique, pierre de cristal posée sur une roche, créée en 2009 par Vladimir Sbynovsky.
Bonne idée, le puits de lumière qui inonde de luminosité l’escalier.
Douceur de vivre
Au rez-de-chaussée, près de la salle-à-manger, la chambre de maître, prend place dans de beaux volumes, et sa salle de bain lumineuse et chaleureuse, en pierre et bois s’invite en contrebas.
La rondeur des lignes installe ici une certaine douceur de vivre.
Pour clore le tout, en sous-sol, un hammam et un bain à remous complètent agréablement les nuits hivernales, où après le ski vient une détente méritée.
Le bonheur vient alors se nicher au milieu des neiges ou du gazon en velours !
Il faut prendre la route, qui serpente entre les villages, fait des méandres, s’enroule autour des champs, des forêts de conifères et d’épineux. Le visiteur découvre alors avec délice le panorama qui se déroule sous ses yeux, et surtout le majestueux Mont Blanc, dont la le sommet est souvent surmontée d’une calotte.
Niché à l’aplomb de Megève, au sein du domaine du Mont d’Arbois, quelques chalets dodus ont élu domicile au sein d’un hameau. Le Chalet Labrador en fait partie.
Les ingrédients indispensables de l’art de vivre à la montagne
Façades en pierre et bois, tavaillons façonnés main sur le toit, deux terrasses en dénivelée exposées au soleil levant, nous accueillent dans la lueur estivale. Dans ce grand chalet savoyard, on retrouve tous les ingrédients indispensables de l’art de vivre à la montagne. Une fière allure donnée par le bois, les pierres du pays ou de Bourgogne, la palette de couleurs sourdes sur laquelle la décoratrice, Isabelle Savariego-Gaultier a joué et les objets anciens chinés, distillés ici et là.
Matières douces et ambiance de chalet
L’entrée se fait côté cuisine. Elle affiche un beau tempérament signée William Sferlazzo. Bien aménagée, spacieuse, se déclinant dans les tonalités de gris, acier et bois, plan de travail en béton gris ciré, cuisinière La Cornue, elle donne sur une jolie salle à manger articulée en arc de cercle, façon « stuben » autrichien . Belle atmosphère le soir : sous un plafond en bois orné d’un très joli trompe l’œil, une grande table ronde, entourée de sa banquette, prend douillettement place. On y dîne avec plaisir le soir, lorsque les derniers rayons du soleil rougeoient dans le ciel.
Une terrasse ensoleillée pour des petits-déjeuners heureux !
Quelques marches plus bas, le grand salon s’étire en longueur sur un joli parquet en chêne ancien. Là les matières se font douces et veloutées en contrepoint de la roche et de la neige de l’hiver. Garni de canapés Beccara et de bergères surdimensionnés aux teintes chocolat, d‘une imposante cheminée, et s’abritant en partie sous une mezzanine ouverte, il se prolonge sur la terrasse côté soleil levant. Dommage ! On aurait aimé en fin de journée, profiter du soleil couchant face aux montagnes de Rochebrune. On se rattrape alors le matin en prenant le petit-déjeuner face aux Aiguilles Croche et à la Côte 2000. Un grand moment lorsque l’odeur de pain grillé s’exhale de la table en bois brut posée sur la terrasse. On profite alors du panorama exceptionnel où tout est si beau dans le matin calme. Le soleil frappe, illumine, s’installe. Une nouvelle journée commence !
Nuits câlines au premier étage
Au premier étage, une mezzanine surplombe le rez-de-chaussée, un salon se pavane dans des teintes couleur orangée, ouvrant sur un balcon dont la vue imprenable sur la montagne, comme un tableau d’artiste appelle le regard et provoque l’ouverture, le point de vue.
Il fait bon s’y blottir en fin d’après-midi pour recevoir les dernières caresses d’un soleil couchant tout en se plongeant dans un roman haletant.
Au même étage, deux chambres spacieuses (dont une pour enfants), sous une charpente en bois, séparées d’une salle de bain contemporaine, se disputent la primeur des hôtes. Etoffes chaudes et douces signées Frey, habillent les lits, parent les fenêtres à carreaux et des couettes moelleuses présagent déjà de nuits câlines et de rêves heureux.
Dans une niche, près de l’escalier, la chaleur du bois met en scène une œuvre d’art, une sculpture unique, pierre de cristal posée sur une roche, créée en 2009 par Vladimir Sbynovsky.
Bonne idée, le puits de lumière qui inonde de luminosité l’escalier.
Douceur de vivre
Au rez-de-chaussée, près de la salle-à-manger, la chambre de maître, prend place dans de beaux volumes, et sa salle de bain lumineuse et chaleureuse, en pierre et bois s’invite en contrebas.
La rondeur des lignes installe ici une certaine douceur de vivre.
Pour clore le tout, en sous-sol, un hammam et un bain à remous complètent agréablement les nuits hivernales, où après le ski vient une détente méritée.
Le bonheur vient alors se nicher au milieu des neiges ou du gazon en velours !
Juillet 2010