Gagnez un dîner pour deux personnes au Saint James Paris !
Envie de vous échapper dans une oasis de verdure en plein Paris, de découvrir les bienfaits d'un décor crazy-chic, à la foisclassique et extravagant mais aussi d'une terrasse revigorante durant l'été où déguster une carte impeccable ? Jouez avec Luxe-Magazine et gagnez, peut-être, un dîner pour deux personnes auSaint-James, au cœur du 16e arrondissement parisien ! Pour cela, dites-nous, en quelques mots ce qu'évoquent pour vous les clubs privés londoniens. Bonne chance !
Une énième renaissance
Si les chats ont sept vies, le Saint-James pourrait rivaliser avec nos amis félins, tant depuis la fin XIXème siècle l'adresse a connu moult remaniements, passant d'aérodrome pour montgolfières à la Fondation Thiers pour parfaire l'éducation des étudiants de bonne famille avant de se métamorphoser en Club privé dans la plus pure tradition des cercles londoniens puis enfin un château-hôtel. Designée par l'incomparable Andrée Putman, l'hôtel était toutefois depuis cette époque "resté dans son jus" jusqu'à ce que, cette année, l'iconoclaste, Bambi Sloan, ne reprenne en main l'adresse. Résultat ? L'architecte d'intérieure est parvenue à faire bouger ces quelque 5000 m2, 48 chambres, et salons sans compter l'historique bibliothèque. Un décor "crazy chic" raffiné et décadent. Une petite merveille qui offre incontestablement une nouvelle jeunesse à l'hôtel et invite par la même occasion à redécouvrir sa table...
Une cuisine réjouissante
Passée la décoration qui ne manquera pas d’enthousiasmer les amoureux de Napoléon III qui navigueront entre moquette panthère, tentures et velours assumés, papiers peints décapants, moulures bordées de noir et répliques de toiles de maîtres, le lieu séduit par sa folie douce, son calme proprement dépaysant mais aussi son excellente table menée avec brio par Cyrille Robert. On craque pour cette belle carte de nos terroirs aux vives influences méditerranéennes. Ici "bon" rime avec "simplicité des saveurs et excellence des produits". Son passage aux Trois Marches, chez Ledoyen, au Meurice et chez Maxim's l'ont assez naturellement amené, à partir de 1998, à officier derrière les fourneaux du Saint James Paris avec une carte qui change au gré des saisons et qui s’enrichit chaque jour de nouveaux plats inspirés des plus beaux produits trouvés au marché le matin. Si l’on reconnaît une influence méditerranéenne dans les "petites pâtes farcies aux coquillages et fondue de poireaux, sauce au safran", d’autres régions de France sont également à l’honneur sur la carte, avec le "filet de canette de Challans rôti au macis, écrasée de pommes de terre rattes au foie gras". Un sans faute à déguster. Plaisir garanti.
Si les chats ont sept vies, le Saint-James pourrait rivaliser avec nos amis félins, tant depuis la fin XIXème siècle l'adresse a connu moult remaniements, passant d'aérodrome pour montgolfières à la Fondation Thiers pour parfaire l'éducation des étudiants de bonne famille avant de se métamorphoser en Club privé dans la plus pure tradition des cercles londoniens puis enfin un château-hôtel. Designée par l'incomparable Andrée Putman, l'hôtel était toutefois depuis cette époque "resté dans son jus" jusqu'à ce que, cette année, l'iconoclaste, Bambi Sloan, ne reprenne en main l'adresse. Résultat ? L'architecte d'intérieure est parvenue à faire bouger ces quelque 5000 m2, 48 chambres, et salons sans compter l'historique bibliothèque. Un décor "crazy chic" raffiné et décadent. Une petite merveille qui offre incontestablement une nouvelle jeunesse à l'hôtel et invite par la même occasion à redécouvrir sa table...
Une cuisine réjouissante
Passée la décoration qui ne manquera pas d’enthousiasmer les amoureux de Napoléon III qui navigueront entre moquette panthère, tentures et velours assumés, papiers peints décapants, moulures bordées de noir et répliques de toiles de maîtres, le lieu séduit par sa folie douce, son calme proprement dépaysant mais aussi son excellente table menée avec brio par Cyrille Robert. On craque pour cette belle carte de nos terroirs aux vives influences méditerranéennes. Ici "bon" rime avec "simplicité des saveurs et excellence des produits". Son passage aux Trois Marches, chez Ledoyen, au Meurice et chez Maxim's l'ont assez naturellement amené, à partir de 1998, à officier derrière les fourneaux du Saint James Paris avec une carte qui change au gré des saisons et qui s’enrichit chaque jour de nouveaux plats inspirés des plus beaux produits trouvés au marché le matin. Si l’on reconnaît une influence méditerranéenne dans les "petites pâtes farcies aux coquillages et fondue de poireaux, sauce au safran", d’autres régions de France sont également à l’honneur sur la carte, avec le "filet de canette de Challans rôti au macis, écrasée de pommes de terre rattes au foie gras". Un sans faute à déguster. Plaisir garanti.
Février 2012