le Four Seasons Hôtel d'Istanbul : Une magie orientale
Carrefour magique entre trois mers et deux continents,Istanbul la magnifique séduit. Dans cette ville de légende, entre crépuscule et l'aube, le doux murmure de l'histoire vous berce.
Au sein du plus beau et du plus vieux quartier historique d'Istanbul, entre les merveilles de Topkapi Palace, la Mosquée Bleue, Sainte Sophie et le typique Grand Bazar, l'ancienne prison mythique, la Sultanahmet, construite en 1918, a pris les traits d'un hôtel de luxe, intime et raffiné : le Four Seasons Hôtel.
Au sein du plus beau et du plus vieux quartier historique d'Istanbul, entre les merveilles de Topkapi Palace, la Mosquée Bleue, Sainte Sophie et le typique Grand Bazar, l'ancienne prison mythique, la Sultanahmet, construite en 1918, a pris les traits d'un hôtel de luxe, intime et raffiné : le Four Seasons Hôtel.
Un refuge empreint de charme et de mystère
Dans cet hôtel devenu un refuge de charme et empreint de mystère, les façades extérieures ocre de style néo-classique, ont conservé leur origine. Au sein de l'établissement, quelques colonnes en marbre, ainsi que certaines dalles du sol, vestiges d'un passé, portent encore l'inscription d'anciens prisonniers. Histoire, quand tu nous tiens!
Aujourd'hui, des passerelles de verre relient les différents bâtiments, encerclent la cour, apportant lumière et volume.
Dès l'entrée, sous la baguette magique de son directeur Marcos Bekhit et de Sinan Kafadar (l'architecte d'intérieur ), la magie opère. Un portier élégant accueille les visiteurs d'un soir. Le hall aux tons d'épice, au plafond imposant et aux suspensions majestueuses et aériennes de Murano, évoque une demeure privée. Les ouvertures en ogive desservant le bar et le lobby abritent des espaces intimes, où meubles d'époque, tapisseries précieuses et canapés moelleux invitent le voyageur à la détente.
Une alliance entre tradition et modernisme
Une atmosphère particulière se dégage, de la subtile alliance née entre tradition et modernisme où l'écho du passé résonne au présent.
L'hôtel, avec ses 65 chambres et suites, s'articule autour d'un jardin - à l'origine la cour des prisonniers - où le restaurant, un pavillon de verre en rotonde, constitue la pièce maîtresse.
Petit-déjeuner et déjeuner peuvent se prendre à la belle saison sur la terrasse cernée de fleurs et de verdure. Pour le dîner, la salle s'éclaire d'un halo tamisé, grâce à l'éclat intime des photophores, propice à de tendres tête-à-tête. L'architecture, aux lignes épurées, profite également d'une décoration raffinée, où objets insolites d'influence orientale côtoient verrerie fine et moderne. Le point d'orgue reste la cheminée, qui s'allume aux premiers frimas de l'hiver.
Plaisir et intimité d'abord
La gastronomie, à la hauteur de l'excellence de l'art de vivre dispensé, se situe au tout premier rang de la restauration européenne, avec des touches orientales, et un service irréprochable et distingué.
Quant au centre de remise en forme, il permet aux plus sportifs de se reprendre en mains.
Dans les suites et chambres, les peintures pastel, les meubles raffinés, les tissus chaleureux à la texture dense et sensuelle, viennent ponctuer des espaces conçus autour d'un seul objectif : plaisir et intimité d'abord !
Dans cet hôtel devenu un refuge de charme et empreint de mystère, les façades extérieures ocre de style néo-classique, ont conservé leur origine. Au sein de l'établissement, quelques colonnes en marbre, ainsi que certaines dalles du sol, vestiges d'un passé, portent encore l'inscription d'anciens prisonniers. Histoire, quand tu nous tiens!
Aujourd'hui, des passerelles de verre relient les différents bâtiments, encerclent la cour, apportant lumière et volume.
Dès l'entrée, sous la baguette magique de son directeur Marcos Bekhit et de Sinan Kafadar (l'architecte d'intérieur ), la magie opère. Un portier élégant accueille les visiteurs d'un soir. Le hall aux tons d'épice, au plafond imposant et aux suspensions majestueuses et aériennes de Murano, évoque une demeure privée. Les ouvertures en ogive desservant le bar et le lobby abritent des espaces intimes, où meubles d'époque, tapisseries précieuses et canapés moelleux invitent le voyageur à la détente.
Une alliance entre tradition et modernisme
Une atmosphère particulière se dégage, de la subtile alliance née entre tradition et modernisme où l'écho du passé résonne au présent.
L'hôtel, avec ses 65 chambres et suites, s'articule autour d'un jardin - à l'origine la cour des prisonniers - où le restaurant, un pavillon de verre en rotonde, constitue la pièce maîtresse.
Petit-déjeuner et déjeuner peuvent se prendre à la belle saison sur la terrasse cernée de fleurs et de verdure. Pour le dîner, la salle s'éclaire d'un halo tamisé, grâce à l'éclat intime des photophores, propice à de tendres tête-à-tête. L'architecture, aux lignes épurées, profite également d'une décoration raffinée, où objets insolites d'influence orientale côtoient verrerie fine et moderne. Le point d'orgue reste la cheminée, qui s'allume aux premiers frimas de l'hiver.
Plaisir et intimité d'abord
La gastronomie, à la hauteur de l'excellence de l'art de vivre dispensé, se situe au tout premier rang de la restauration européenne, avec des touches orientales, et un service irréprochable et distingué.
Quant au centre de remise en forme, il permet aux plus sportifs de se reprendre en mains.
Dans les suites et chambres, les peintures pastel, les meubles raffinés, les tissus chaleureux à la texture dense et sensuelle, viennent ponctuer des espaces conçus autour d'un seul objectif : plaisir et intimité d'abord !
Juillet 2006
Par Katya PELLEGRINO